Lancement de plusieurs projets de développement à Jerada

Lancement de plusieurs projets de développement à Jerada

Plusieurs projets de développement ont été inaugurés et lancés, jeudi et vendredi, dans la province de Jérada, à l'occasion de la célébration du 61e anniversaire de la fête de l’Indépendance.

Ainsi, le gouverneur de la province de Jerada, Mabrouk Tabet, et la délégation l’accompagnant ont inauguré l’internat du lycée El Fath dans la commune urbaine de Jérada, réalisé sur une superficie de 1.850 m2 pour un coût global de 6 millions de DH. D’une capacité d’accueil de 240 lits, cette structure vise notamment à lutter contre la déperdition scolaire et alléger le fardeau de scolarisation pour les familles du monde rural.

Dans la même commune, deux établissements éducatifs privés ont été inaugurés en faveur des jeunes diplômés. Les deux structures, qui ont nécessité une enveloppe de plus de 5 millions de DH, ont été réalisées dans le cadre de l’INDH et ambitionnent de renforcer l’auto-emploi parmi les jeunes diplômés et diversifier l’offre éducative dans la ville.

Par ailleurs, le gouverneur a lancé les travaux de réalisation d’un pont sur une rivière (388.320 DH), dans le cadre des efforts de lutte contre les inondations et ceux relatifs à l’électrification de plusieurs routes dans la ville (2,457 millions DH).

Dans la commune de K’vait, Mabrouk Tabet a inauguré la route provinciale n. 6048 entre Jerada et K’vait sur une longueur de 25,4 km (plus de 29 millions de DH), outre le lycée collégial Zaitoun réalisé pour un coût global de près de 8 millions de DH, financés par l’académie régionale de l’éducation et de la formation.

Le secteur de la santé a été renforcé dans la province par l’inauguration au niveau de la commune d’Aïn Bni Mathar d’une maternité (986.000 DH) et la remise des clés d’une ambulance acquise par le gouvernement d’Andalousie dans le cadre de la coopération internationale en faveur de la délégation provinciale de la santé.

Par la même occasion, le gouverneur a remis les clés de sept autres ambulances aux présidents de certaines communes de la province, acquises par le conseil de la région de l’Oriental pour une enveloppe de 1,96 million de DH. Deux autres ambulances ont été remises aux communes d’Aïn Bni Mathar et Twist dans le cadre de l’INDH (870.000 DH).

Le gouverneur a aussi remis à la délégation provinciale de la Santé les clés de deux unités médicales offertes par l’INDH (2,86 millions de DH) et une ambulance équipée de couveuse pour enfants prématurés et une autre dédiée aux patients atteints d’insuffisance rénale dans la province.  

source : Le Matin

Oujda: Un nouveau modèle d’offre hospitalière

  • Le programme piloté par le conseil provincial et réalisé par des bienfaiteurs
  • Alléger la pression sur les grands hôpitaux de la ville

L’infrastructure hospitalière se renforce à Oujda avec la construction du premier centre de soins communautaire. Une réalisation qui a nécessité 30 millions de DH et fait partie de cinq  centres programmés par le conseil provincial pour alléger la pression sur les deux hôpitaux de la ville: le Centre hospitalier universitaire et l’hôpital Al Farabi. C’est ce qu’a annoncé Hicham Essghir, président du conseil provincial de la préfecture d’Oujda. Cette nouvelle approche, pour répondre aux attentes des 10 communes rurales de la province, propose des soins parallèles à l’offre hospitalière du ministère de la Santé.
La première mission, et pas la seule, de ces centres est d’assurer des diagnostics précis pour orienter les malades vers les services spécialisés et chirurgicaux des hôpitaux d’Oujda.  «L'élaboration d'un diagnostic aide à spécifier la gravité de la maladie et oriente le médecin à prendre les mesures adéquates pour le rétablissement du patient. C’est un travail qui se fait en amont pour éviter l’encombrement et les files d’attente devant certains services médicaux, des grands hôpitaux d’Oujda qui n’arrivent pas à répondre à tous les besoins», précise le président du conseil provincial d’Oujda.
Le prototype de soins médicaux (centre Al Hayat), inauguré mercredi dernier, assure les services de radiologie, mammographie, échographie, scanner et une vingtaine de positions pour accueillir 200 malades d’insuffisance rénale. Une maladie qui fait des ravages dans l’Oriental avec multiplication des  cas de décès à cause de la forte  pression sur les centres d’hémodialyse gratuits. «On ne peut répondre à toutes les attentes vu le nombre croissant des demandeurs qui dépasse le nombre des machines purificatrices de sang», est-il expliqué auprès d'un centre d’hémodialyse réalisé dans le cadre d’un partenariat entre une association et l’INDH. «La norme internationale  est de 3 malades par machine. Ce qui n’est pas le cas au Maroc et surtout dans l’Oriental, où le nombre de patients dépasse la douzaine par machine dans certains centres d’hémodialyse», ajoute Essghir. Une surcharge qui ne facilite pas la prise de traitement (qui dure 4 heures).
Une belle initiative tout de même mais qui rencontre des obstacles au niveau du budget de fonctionnement. Au minimum 7 millions de DH/an sont nécessaires, rapporte-t-on auprès de l’association Al Hayat qui se charge de la gestion de ce centre, du recrutement du personnel et de la réalisation des conventions de partenariats avec les conseils locaux et le  ministère de la Santé.

Source : L'économiste

Oriental : Plantation de plus de 218.000 plantes en une seule journée

Le wali de la région de l’Oriental, Gouverneur de la préfecture Oujda-Angad, Mohamed Mhedia a lancé samedi l’opération de plantation de plus de 218.000 plants forestiers en une seule journée dans la région de l’Oriental, dans le cadre de l’initiative lancée par le Haut-commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la Désertification (HCEFLCD). 

L’Opération du HCEFLCD portant sur la plantation de plus d’un million d’arbres en une seule journée, sur 210 périmètres de plantation à travers tout le territoire national, est initiée sous le Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI concomitamment au déroulement des négociations de la COP22 à Marrakech, et traduit l’engagement concret du Royaume en faveur de l’environnement et du climat.

Elle constitue également le coup d’envoi de la campagne nationale de reboisement 2016, qui mobilisera plus de 40 millions de plants forestiers sur une superficie de 45 mille à 50 mille ha.

Dans l’Oriental, l’opération qui s’est déroulée en présence d’élus et des chefs des services extérieurs et de sécurité, des acteurs associatifs, des étudiants et des écoliers, porte sur la plantation des espèces autochtones adaptées au changement climatique (pin d’Alep, pin maritime, cèdre, thuya,…), ainsi que d’autres espèces mieux adaptées aux conditions du milieu écologique (eucalyptus, acacias,…) au niveau de 39 sites répartis sur l’ensemble des provinces de l’Oriental (Oujda, Berkane, Nador, Driouch, Jerada, Taourirt et Figuig).

Dans une déclaration à la MAP, le directeur des eaux et forêts et à la lutte contre la désertification, Mohamed Bennani a indiqué que cette opération a pour but de créer une dynamique de mobilisation autour du programme de reboisement, ajoutant qu’il s’agit aussi d’inscrire cette opération dans le cadre du programme régulier de reboisement de la direction régional de l’Oriental au titre de cette campagne, lequel prévoit la plantation de plus de 5 millions d’arbres forestiers sur une superficie de 9800 ha avec un budget de 60 millions de dirhams.

Et d’ajouter que cette initiative, de portée nationale, est réalisée sous le thème «Je plante un arbre dans mon territoire pour développer la forêt de mon pays», et constitue un engagement effectif et une mobilisation nationale visant la participation volontaire des différents acteurs.  

Source : Le Matin

L’Oriental accentue ses actions de développement agricole

Le programme de développement agricole et rural des zones frontalières (2016-2020) est réalisé à hauteur de 20%. C’est ce que vient de révéler le wali de l’Oriental, selon l’édition du 10 novembre de L’Economiste. Ce programme s'articule autour de deux axes. Le premier concerne huit communes rurales de la préfecture d’Oujda, alors que le second cible la réutilisation des eaux épurées de la station de traitement de la ville.

Au total, 478 millions de dirhams seront débloqués pour ces projets qui profiteront à 5.248 bénéficiaires et assureront 330.000 journées de travail. Cet effort de reconversion des activités productives contribuera également à l'amélioration des revenus et à la conservation des eaux et du sol, tout en boostant les filières arboricoles. In fine, il s'agit de lancer de nouveaux projets générateurs de revenus tout en facilitant aux habitants de ces zones leur reconversion vers des activités légales et durables en agriculture.

Les projets lancés, dans ce cadre, ont pour objectif la plantation de 6.300 hectares d'arboriculture (oliviers, amandiers et cactus) au niveau de certaines communes. Ils contribueront, par ailleurs, à l'amélioration des revenus qui passeront de 1.500 dirhams à 19.000 dirhams par hectare dans le cadre du programme d'irrigation à partir de la station d’Oujda et à 15.000 dirhams par hectare au niveau des terres bours. Avec 4 hectares exploitables, les petits agriculteurs peuvent facilement réaliser des revenus de 5000 dirhams par mois, assurent les responsables du ministère de l’Agriculture. Cet effort d'amélioration des revenus concerne aussi la femme rurale et les populations qui pratiquent l'agriculture mais qui n'avaient rien à voir avec la contrebande vivrière.

Source : Le 360

Ouverture à Oujda de la 8e édition du Salon régional du livre

La 8-ème édition du Salon régional du livre, organisée à l’initiative de la direction régionale de la Culture dans l’Oriental sous le signe "la lecture publique au service du développement territorial", s’est ouverte jeudi à Oujda. Intervenant à cette occasion, le directeur régional de la culture Omar Abou a indiqué que le livre et l’édition connaissent des contraintes malgré l’abondance de la production, ajoutant que le ministère de la culture a mis en place une stratégie pour palier à cette situation basée notamment sur le soutien au livre, aux revues culturelles et àla participation à des salons nationales et internationales.

M. Abou a annoncé l’organisation dans la capitale de l’Oriental en septembre prochain d’un salon international du livre avec le Sénégal comme invité d’honneur de sa première édition, ajoutant que cette manifestation sera organisée en collaboration avec la wilaya de la région de l’Oriental, le conseil régional et l’agence de développement des provinces et préfectures de l’Oriental.

Cette édition, qui porte le nom de feu Mohamed Ben Amara, s’inscrit dans le cadre de la célébration de la glorieuse Marche verte et de l’anniversaire de l’Indépendance ainsi que celui de la promotion de la lecture et du livre conformément à la stratégie du ministère de la Culture visant à rapprocher le livre du public.

Prennent part à cette manifestation des exposants nationaux, régionaux et locaux outre des librairies, des associations, des centres culturels et des institutions gouvernementales.

Cette 8-ème édition prévoit dans sa programmation des ateliers de lectures et du théâtre pour enfants, une exposition collective d’art plastique ainsi que des séances de dédicaces d'ouvrages, outre des tables rondes et des rencontres traitant de questions culturelles d’actualité animées par des spécialistes et des associations actives dans la région.

Source: MEDIAS24

Communiqué de presse : Journées “Start up – UMP – Oujda

L’Université Mohammed Premier(UMP) d’Oujda organise en collaboration avec l’Académie de Recherche et d’Enseignement Supérieur : fédération des établissements d’enseignement supérieur francophones de Belgique (ARES) et le Conseil de la Région de l’Oriental, des journées “Start Up” au profit des jeunes étudiants et lauréats de l’UMP, sous l’encadrement de professeurs chercheurs et acteurs socioprofessionnels de renommée, et ce du 09 au 11 novembre 2016.

Le challenge à relever par les porteurs d’idées de projets est de créer une ” ébauche” d’entreprise en 54 heures chrono ! Porteurs d’idées innovantes, étudiants et professionnels ont rendez-vous donc sur le Campus Universitaire de Transfert de Technologies et d’Expertise d’Oujda pour conjuguer leurs efforts, fédérer leurs savoir-faire afin de faire émerger de nouveaux projets entrepreneuriaux. Pour le futur jeune entrepreneur, “Start up – UMP – Oujda” est une opportunité unique pour débattre de son projet de création d’entreprise et surtout de l’enrichir par les conseils avisés des mentors dépêchés à l’occasion ; le tout réalisé dans un esprit de groupe.

En marge de ces compétitions, des stands d’expositions et des animations scientifiques dispensés au public présent seront organisés. Le mercredi soir, chaque porteur d’idée doit, en quelques minutes, présenter son projet (le fameux PITCH FIRE) pour convaincre, en fonction de ses besoins, les financiers, développeurs, responsables marketing, ingénieurs, étudiants… de rejoindre son groupe de travail.

De l’étude de marché au business plan en passant par la stratégie de communication ou encore la réalisation de prototype, les équipes disposent ensuite de 54 heures pour consolider un dossier viable sous l’œil avisé de mentors, représentés par des entrepreneurs expérimentés, mobilisés et engagés pour l’occasion. Le vendredi après-midi, à l’issue des présentations officielles des différents projets, le jury établit le classement final et remet les dotations aux meilleurs lauréats.


Technopole d’Oujda : Les bonnes nouvelles arrivent

Tous les indicateurs de commercialisation de la zone PME/PMI sont au vert au niveau de la Technopole d’Oujda. Le taux de remplissage a atteint les 80% et les lots restants seront écoulés dès le début de 2017. C’est ce qu’a annoncé Omar Elyazghi, président du directoire de MedZ, lors d’une rencontre organisée avec le CRI de l’Oriental. Une opportunité pour exposer les démarches entreprises, renforcer l’attractivité de la Technopole, détailler les nouvelles facilités d’encouragement mises à disposition des entrepreneurs et s’enquérir de l’état d’avancement des unités opérationnelles. Mohammed M’hidia, wali de la région, se dit tout aussi satisfait des avancées réalisées en matière de promotion du premier site industriel de la région. Il a surtout insisté sur l’importance d’accompagner les industriels qui font confiance à la Technopole d’Oujda, suivre l’avancement de leurs chantiers et la visibilité de leurs projets par rapport au démarrage de leur activité.

Concernant la situation globale de valorisation et de commercialisation des 47 entreprises engagées dans la Technopole d’Oujda, 11 sont en activité et 15 autres en cours de finalisation au niveau de la zone PME/PMI alors que 3 entreprises sur un total de sept ont démarré leurs activités dans la zone showroom. De son côté, Oujda Shore vient d’accueillir la première entreprise spécialisée dans l’offshoring. C’est le cas aussi pour la zone logistique et services avec le démarrage d’une entreprise spécialisée dans les hydrocarbures.

Quant au bilan de vente et de commercialisation pour 2016, il est éloquent: 5 nouvelles entreprises industrielles sont installées sur une superficie de 2,5 hectares. Elles sont actives dans la confection et le délavage, la fabrication des armatures métalliques, la fabrication industrielle des meubles et décoration, l’infusion et emballage de thé, la transformation de verre pour bâtiment et matériel roulant. Le montant global de ces investissements s’élève à 87,2 millions de DH avec création de 1.170 emplois supplémentaires. En matière de valorisation, 7 entreprises ont commencé leurs activités en 2016, et 5 autres sont en phase de construction de leurs bâtiments. Par ailleurs, cinq dossiers additionnels peuvent être concrétisés avant fin 2016 puisqu’ils ont déjà reçu l’aval de la commission d’attribution des lots. Ces performances ne sont pas dues au simple fait du hasard, mais grâce aux efforts d’accompagnement des investisseurs pilotés par le CRI et MedZ, la nouvelle offre commerciale de MedZ via une remise sur le prix des lots de terrain ainsi que l’offre déclinée par le Conseil régional de l’Oriental pour l’octroi d’aides financières à l’investissement et à la création de l’emploi.

Les travaux d’aménagement et d’infrastructure sont totalement achevés et les réceptions techniques ont été faites avec les régies concernées. Idem pour la deuxième phase des travaux au niveau du campus du savoir. «Nous attendons la réception des dernières retouches pour accueillir le premier institut privé sur la zone campus et céder le lot de terrain relatif au centre technologique universitaire», explique Rachid Rami,
directeur du développement des parcs industriels de l'Oriental.

Première unité operationelle à Oujda shore
L’Institut supérieur du web et du numérique (ISWN) du groupe Aramis ingénierie est en phase d’équipement de ses locaux à Oujda Shore. Il est la première entité de services numériques à s’y installer avec comme ambition d’assurer à Oujda une part du marché international dédié aux projets d’infrastructure et maintenance des produits numériques.
L’ISWN, qui compte déjà une antenne à Marrakech, est une société spécialisée dans les nouvelles technologies, le développement mobile, les infrastructures systèmes et réseaux (supports des produits numériques, virtualisation et bases de données…). Elle apporte son savoir-faire dans le développement des logiciels sur mesure, développement d’applications natives, sécurisation des accès aux données, monitoring, support applicatif et transfert des compétences, configuration et installation des réseaux, serveurs et sauvegarde dans les datacenters.

Source: L'écnomiste

Forum international sur la recherche en marketing : La question de la Value Management décortiquée

La 4e édition du Forum international sur la recherche en marketing (FIRM) s’est ouverte, samedi à Oujda, avec la participation d’experts marocains et étrangers devant débattre et analyser la question de la Value Management dans le contexte actuel.

Intervenant à l’ouverture de ce Forum, organisé sous le thème «Repenser la valeur en management», le président de l’Université Mohamed 1er d’Oujda, Mohamed Benkaddour a souligné l’importance majeure du thème du Management dans le domaine de l’administration et l’entreprise, d’où la participation de l’Université à ce Forum qui est susceptible de lui permettre de développer la recherche et ainsi contribuer au décollage socio-économique de la région.

Cette rencontre était l’occasion de dégager de nouvelles conceptions de la Value Management à la fois en tant que vecteur et objectif et élaborer des recommandations et mesures pratiques en faveur des entreprises, a souligné Mohamed Benkaddour, ajoutant que l’objectif est de permettre à ces sociétés de réaliser un meilleur rendement à moindre coût.

Et d’ajouter que l’Université d’Oujda a mis en place une stratégie ficelée ayant pour objectif de faire le suivi des branches en lien avec le Management et améliorer le rendement de l’établissement dans ce cadre.

Le directeur du Centre régional de l’investissement(CRI) de l’Oriental, Mohamed Sabri a souligné, pour sa part, que la valeur en Marketing a fait l’objet de plusieurs travaux de recherche pour la définir et la conceptualiser, soulignant la nécessité de repenser aujourd’hui cette valeur en raison de l’évolution des services et de l’économie numérique mais aussi des attentes du client.

En ce qui concerne les contributions du CRI, explique Mohamed Sabri, la valeur change de nature et de contenu étant donné que la satisfaction des besoins du client en termes de délai, d’accueil et d’assistance devient le déterminant, estimant que repenser la valeur est tributaire dans ce contexte de l’amélioration des prestations à travers notamment la simplification des procédures.

Initié par l’Ecole nationale de commerce et de gestion d’Oujda, ce Forum se veut une occasion pour échanger entre experts et académiciens marocains et étrangers sur la définition et une explication «plus contextualisées et nuancées de la question du Value Management». 

Les organisateurs ont défini plusieurs axes à débattre notamment «l’épistémologie de la valeur en sciences de gestion»,» «Lévolution du Management de la valeur», «le Processus decréation/Co-création de Valeur», «Le Management de la valeur client», «Le Management de la valeur RH».

Source : Le Matin

Impact@Work, un nouveau programme pour rentabiliser la région de l’Oriental

Le plus grand programme régional de l’entrepreneuriat social au Maroc et dans d’autres pays du Maghreb « Impact@Work » a été lancé ce weekend à Oujda.

Ce programme est le fruit d’un partenariat réussi entre Cifi Foundation, l’organisation Enactus et le Centre régional de l’investissement pour « mobiliser les jeunes et leur faciliter l’accès au monde de l’entreprise et la création de l’emploi ». En effet, plus de 4000 jeunes, résidant au Maroc et au Maghreb, issus de milieux à moyen et à faible revenu, et âgés de 18 à 25ans seront encadrés pour devenir des entrepreneurs et créer leurs propres projets. « Ce programme a pour objectif de permettre aux jeunes entrepreneurs de transformer leurs projets en startups à fort impact. Ils seront soutenus par des programmes de formations, d’encadrement et d’accompagnement, ainsi que d’un fond de financement en vue de promouvoir la création d'emplois locaux et de stimuler le développement urbain inclusif », précise Foundation Citi dans un communiqué officiel.

Source: 2M.ma

Jerada: Une nouvelle direction provinciale pour l’agriculture

La nouvelle direction provinciale de l’agriculture de Jerada ouvre ses portes cette semaine. Elle débute avec la signature de cinq conventions pour des programmes de développement local avec un budget de 37 millions de DH. En détail, il s’agit de cinq partenariats pour cibler l’extension de la filière d’arboriculture: l’olivier sur 450 hectares, l’amandier sur 400 ha et le cactus sur 200 ha. La deuxième convention concerne l’apiculture avec distribution de 1.226 ruches peuplées et matériels techniques avec construction d’une unité de valorisation.

La formation des jeunes apiculteurs (800 au total) est aussi programmée pour réussir les bonnes pratiques. Une mission qui nécessite du temps vu que les bénéficiaires étaient habitués à la contrebande vivrière ou l’extraction illégale du charbon. Des activités qui leur permettaient de gagner mieux et vite mais qui faisaient d’eux des jeunes sans métiers et revenus stables.

Le développement et la valorisation des plantes aromatiques et médicinales fait aussi partie de ce programme et stipule la modernisation de la coopérative existante via une mise à niveau technique et hygiénique exigée par l’ONSSA. L’intervention du département de l’agriculture consiste en l’achat d’une nouvelle unité de trituration, restauration des locaux existants, l’achat de flacons et sachets de conservation et commercialisation avec l’amélioration de la qualité des huiles essentielles extraites.

De son côté la filière laitière a bénéficié de 5 millions de dirhams pour booster la production de la fromagerie de Guafayette. La construction d’une nouvelle étable équipée en matériels et vaches laitières confortera la production et assurera du travail à des dizaines de personnes. La cinquième convention concerne la création d’un périmètre irrigué sur 45 hectares à Oulad Kaddour. «Une ébauche pour inciter les agriculteurs du privé et jeunes diplômés à bénéficier de manière rationnelle de la nappe artésienne d’Ain Bani Mathar», précise Mohammed Segmani, directeur provincial du ministère de l’Agriculture à Jerada.
De son côté, le privé a déjà entamé quelques expériences pilotes dans la province. C’est le cas de la ferme pilote de production des nectarines, du coing et des prunes à Tiouli. Grâce à l’accompagnement des techniciens du département de l’agriculture et le savoir-faire du propriétaire, la production à terme sera estimée à 35 tonnes/hectare pour la nectarine.

Source : L'économiste