Marchica Med renforce l’offre touristique sur la Cité d’Atalayoun

Marchica Med renforce l’offre touristique sur la Cité d’Atalayoun

Dix ans après son lancement, Marchica Med s’érige en tant que grand projet touristique et urbanistique d’exception qui contribuera à coup sûr à la promotion du développement économique et social de la région de l’Oriental.

C’est ce qu’a confirmé Said Zarrou, président du directoire de Marchica Med, en marge de la célébration lundi à Nador de la première décennie d’exercice de cette société d’État chargée de l’aménagement et la mise en valeur du site de la Lagune de Marchica. L’attractivité touristique de la zone sera renforcée par l’ouverture le 15 juillet d’un nouvel hôtel de luxe. Il s’agit du «Marchica Lagoon Resort» (MLR), un établissement d’une superficie de 3,75 hectares et doté de 93 chambres. «Cette unité hôtelière haut de gamme, érigée au cœur de la Cité d’Atalayoun, a tenu à accorder la priorité d’emploi aux jeunes issus de la région, soit plus de 70% de l’ensemble du personnel», peut-on relever du président du directoire de Marchica Med.

Propriété à parts égales de l’ONCF et de l’agence Marchica, le MLR a été confié au célèbre Palace La Mamounia, afin d’en assurer la gestion. Il est également prévu de construire d’autres hôtels de 3, 4 et 5 étoiles. Le but étant de satisfaire tous les budgets, de promouvoir l’écotourisme et accompagner la relance socio-économique que connaît la région. Occupant un site initialement dédié aux dépôts de matériaux de lavage de minerai de fer, la Cité d’Atalayoun, une presque-île avec vue sur la lagune Marchica, s’est complètement métamorphosée en un espace de villégiature unique avec un port de plaisance, des unités hôtelières et une académie de golf, en sus d’un studio d’amélioration des techniques golfiques de dernière génération. La Cité d’Atalayoun compte également les  «Résidences de l’Académie», qui constituent le premier projet résidentiel haut standing réalisé par Marchica Med, avec 145 appartements dont 60 résidences touristiques et 85 unités destinées à la vente. D’une superficie totale de 154 hectares, le site de la Cité d’Atalayoun dispose d’une Marina qui offre 144 places d’amarrage pour des bateaux de plaisance à voile et moteur.

La Cité c’est aussi 45.000 arbres plantés, 650 villas et 2.230 appartements et une zone d’animation sportive et de loisirs offrant une pléthore d’activités, dont un Beach club et un restaurant du golf.

Source : Aujourdhui.ma

Le Conseil de la région encourage l’investissement et la promotion de l’emploi

Le Conseil de la région de l’Oriental, réuni cette semaine en session ordinaire au titre du mois de juillet, a procédé à l’examen et à l’approbation de plusieurs projets de conventions de partenariat visant la promotion du développement socio-économique, l’encouragement de l’investissement et la lutte contre le chômage. Des projets de conventions de partenariat visant la création d’unités industrielles à Nador et à Oujda ont ainsiété adoptés. Le vice-président du Conseil, Mohamed Mrabet, a souligné, dans une déclaration à la MAP, que ces conventions ont pour objectif de promouvoir l’investissement et de favoriser la création d’emplois.

«La valeur globale des projets objets desdites conventions s’élève à près de 130 millions de DH, avec un soutien du Conseil de la région à l’investissement de quelque 25 millions de DH, et ce, pour la création envisagée de quelque 4.500 emplois», a-t-il fait savoir.

Source : Le Matin

146.000 quintaux d’orge subventionné au profit des éleveurs de l’Oriental

10 millions de dirhams. Tel est le montant engagé pour l’achat de 146.000 quintaux d’orge subventionné au profit des éleveurs de toutes les provinces de l’Oriental.

Le but étant d’atténuer les effets du déficit pluviométrique qu’a connu la campagne agricole 2018-2019. L’opération de distribution de l’orge subventionné est une des principales opérations de la composante sauvegarde du cheptel, elle vise l’approvisionnement des éleveurs en quantité suffisante d’orge et aussi la stabilisation des prix à des niveaux accessibles aux éleveurs.

Dans le cadre du programme normal de sauvegarde du cheptel, 18,4 millions DH ont été réservés pour l’achat et la distribution de près de 240.000 quintaux d’orge. Il est à signaler que jusqu’au 27 juin 2019, la quantité d’orge distribuée dans le cadre de ce programme est de 226.500 quintaux au profit de 52.200 éleveurs de toute la région.

Aussi, dans le cadre du programme de lutte contre la vague du froid au titre de la campagne 2018-2019 ayant touché les provinces de Figuig, Taourirt, Guercif et Jerada, une enveloppe budgétaire de plus de 8,2 millions DH a été réservée pour l’achat et la distribution d’une quantité de plus de 105.400 quintaux d’orge. A fin juin 2019, plus de 89.100 quintaux ont été distribués au profit de plus de 13.520 éleveurs.
En outre le ministère a réservé un montant de 1 million DH pour le transport des aliments pour bétail outre que la paille, le foin et le son de production locale.

Source : Aujourdhui.ma

8 MDH d’équipements au profit des jeunes porteurs de projets de la région de l’Oriental

La Fondation Mohammed V pour la solidarité a procédé,à la distribution d’équipements d’une valeur de 8 millions de dirhams (MDH) au profit de 91 jeunes porteurs de projets, lauréats des différents instituts de formation professionnelle au niveau de la région de l’Oriental.

"Cette initiative, qui porte également sur l’accompagnement et le suivi des bénéficiaires, s’inscrit dans le cadre du Programme d’insertion par les activités économiques, destiné à soutenir la création d’emplois et la promotion de l’esprit entrepreneurial au niveau national et à favoriser la pérennité et la rentabilité des petites initiatives économiques", a indiqué le coordinateur régional de la Fondation,

Pour les bénéficiaires, cette action leur permet de créer leurs propres entreprises, d’améliorer leurs revenus et de créer davantage de postes d’emploi au profit notamment des jeunes et des femmes.

A cette occasion, il a été procédé à l’organisation d’une rencontre de communication qui a été marquée par la présentation des grandes lignes et des objectifs du Programme d’insertion par les activités économiques.

Ledit Programme, qui bénéficie à de jeunes porteurs de projet issus de milieux défavorisés, ambitionne de lutter contre la pauvreté par l’autonomisation financière et prévoit des mécanismes d’accompagnement visant la promotion de l’esprit entrepreneurial, le renforcement des compétences des porteurs de projets, la formation et le suivi en pré et post-création du projet, et le financement des projets à travers l’octroi d’équipements professionnels.

Source : MAP

La perle bleue accueille le 11ème Salon régional du livre

Le ministère de la Culture et de la Communication organise, du 8 au 14 juillet prochain à Saïdia, la 11ème édition du Salon régional du livre, sous le thème «Les zones frontalières, espace de rencontre et de coexistence». Ce rendez-vous culturel s'inscrit dans le cadre des efforts du ministère de la Culture et de la Communication visant à promouvoir la lecture au sein de l’ensemble des catégories de la population, indique un communiqué de la direction régionale du ministère.

Ce salon a aussi pour objectif d’enrichir le programme culturel et artistique dans la Perle bleue, encourager les estivants à la lecture et faire connaître aux visiteurs de la station, notamment les Marocains résidant à l’étranger, la production culturelle nationale, précise le communiqué.

En parallèle avec l’exposition de livres, cette édition, animée par plusieurs éditeurs, intellectuels, écrivains et artistes, comprend également des colloques, des ateliers et des activités artistiques, en plus de rencontres de signature de différents ouvrages, notamment des recueils de poésie, des romans et des recueils de nouvelles. Cet événement propose, en effet, un programme culturel diversifié, notamment une exposition d’arts plastiques, des soirées poétiques et des ateliers thématiques, dont un atelier pour enfants et d’autres dédiés au dessin et au cinéma.

De même, des écrivains et critiques littéraires de la région de l’Oriental animeront un colloque sur l’état des lieux de la création littéraire dans cette région, en particulier dans la poésie, le roman, la nouvelle et le théâtre.

Le programme de cette édition prévoit aussi un colloque sur le thème «La province de Berkane à la lumière des découvertes archéologiques et des enjeux du développement» et un atelier-débat sur le thème «Les zones frontalières comme espace de coopération culturelle».

Source : Libération.ma

Huitième édition du festival maghrébin du film

Cette 8e édition sera distinguée par la présence de stars maghrébines et arabes: Malika Belbaye, Cherif Mounir, Rachid Elouali, Youssef Shiri, Aziz Hettab…

Ce rendez-vous incontournable du 7e art maghrébin, qui en est à sa 8e édition et sera organisé du 11 au 15 juin au théâtre Mohammed VI. Il a pour objectif de placer la capitale de l’Oriental sous les feux de la rampe et lancer les festivités artistiques et culturelles de cet été.

Le festival véhicule des messages d’espoir et contribue au dynamisme culturel escompté. «Ce festival est également une opportunité pour mobiliser ceux qui souhaitent  partager leur ferveur artistique et créer un événement pour marketer leur ville», confie à L’Economiste Khalid Sli, directeur du festival.

Six films sont sélectionnés pour la compétition du long métrage. Il s’agit de «Reconnaissance» du réalisateur algérien Salim Hamdi, «Cri de l'âme» du réalisateur marocain Abdelilah El Jaouhari, «La voix des anges» du réalisateur algérien Kamal Laiche, «Une urgence ordinaire» du réalisateur marocain Mohsine Besri, «Fatwa» du réalisateur tunisien Mahmoud Ben Mahmoud et «Porto-Farina» du réalisateur tunisien Ibrahim Letaief. La direction du festival a également sélectionné 12 courts métrages pour participer à cette édition.

En ce qui concerne la présidence du jury, elle est confiée au cinéaste algérien Ahmed Bedjaoui.  Critique de cinéma, enseignant universitaire, Bedjaoui est une figure de proue du  cinéma algérien. Il sera assisté par le réalisateur marocain Hassan Benjelloun, la réalisatrice et productrice tunisienne Salma Bekkar, l'enseignante-chercheuse et sociologue marocaine Aicha Belarbi, et le réalisateur mauritanien Abderrahmane Lahi.

Au menu également des conférences, animées par des spécialistes du domaine. Elles traiteront trois thématiques: «l'impact de la femme sur le cinéma maghrébin», «le cinéma de la diaspora et l'attraction du cinéma» et «le tourisme culturel, un créneau promoteur pour le développement de la région de l’Oriental». Par ailleurs, quatre ateliers seront consacrés au scénario, la réalisation et la gestion de l'acteur, les principes fondamentaux de la vidéo et l'analyse filmique.

Parallèlement aux projections des films qui aura lieu au théâtre Mohammed VI, d’autres projections sont programmées dans les grandes places de la ville pour un plus grand moment de partage.

Comme à l'accoutumée, des hommages seront rendus aux artistes qui ont marqué par leur engagement et apport le cinéma maghrébin. Il s’agit  des réalisateurs Rachid Bouchareb (Algérie), Kamal Kamal et Saad Chraibi (Maroc), les acteurs  Cherif Mounir (Egypte),  Fatima Bensidan (Tunisie) et Mohammed Benkaddour (Maroc).

Source : L'économiste

Jerada: Une reconversion économique sur mesure

  • Un fonds d’impulsion économique pour concrétiser les projets, une première

  • 4 nouvelles ZI à Jerada, Guenfouda, Ain Bani Mathar et Touissit pour 75 millions de DH

  • 3.000 ha irrigués, création de coopératives…

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L'ancienne citée minière au passé tumultueux revit enfin. Toutes les attentions sont désormais focalisées sur cette province au lourd passif et dont les attentes étaient grandes. La reconversion économique en marche cible une population fragilisée par des années de chômage et de précarité, en lui offrant des opportunités et des projets rentables.

C’est l'essence même du nouveau plan de développement de Jerada, qui vient en réponse aux manifestations qui ont secoué la ville en 2018 après la fermeture des Charbonnages du Maroc.

Aujourd'hui, plusieurs unités installées dans la ville assurent des milliers d’emplois aux projets écologiques et revalorisation des métiers de la terre et de la nature. De plus, des dispositifs d’appui aux jeunes, femmes et porteurs de projets bénéficient aussi d’un soutien inédit: Taghyir (changement), Nachaa (création), Tajmia (regroupement) et Dafaa (coup de pouce). Une nouveauté en matière d’approche et d’accompagnement aux populations vulnérables et d’octroi de crédits.

Certes, depuis la fermeture des mines, les différentes politiques de redressement ont investi dans l’infrastructure, mais ont occulté la dimension humaine. Depuis, les torts ont rapidement été réparés. Pour la première fois au Maroc, un fonds d’impulsion économique pour soutenir l’employabilité et inclusion financière de la cible vulnérable a été mis en place.

Cet effort a été accompagné de 4 nouvelles zones industrielles (Jerada, Guenfouda, Ain Bani Mathar et Touissit pour 75 millions de DH) et d'un investissement conséquent dans le secteur agricole (3.000 ha avec réalisation de nouveaux périmètres irrigués PMH et création de coopératives).

Le fonds d’impulsion économique de la province de Jerada est un mécanisme financier  d’appui à l’emploi et à l’accompagnement des  différents porteurs de projets. Il servira de  levier pour l’emploi, l’employabilité et l’impulsion économique territoriale via des lignes directrices appropriées. Celles-ci s’inspirent des orientations stratégiques, des mécanismes d’appui existants, des enjeux de l’emploi et de l’employabilité, l’impact du fonds de l’emploi, la rationalisation et pérennisation des projets retenus, le maintien et le développement des activités existantes.

«Il fallait benchmarker avec le national et l'international pour proposer une alternative qui prend en considération l’arsenal juridique et financier du pays: Analyse documentaire et rencontres avec les organismes nationaux et internationaux qui traitent la problématique de l’emploi et de l’employabilité, le recensement et l’évaluation des  mesures d’appui existantes  par cible et par mode», confie à L’Économiste Mabrouk Tabet, gouverneur de la province. Celui-ci insiste particulièrement sur l'importance «de corréler les montants d'investissements au nombre d'emplois à créer».

Des focus group ont été menés avec les parties prenantes de la province, à savoir autorités locales, institutionnels, élus, société civile, services déconcentrés et jeunes porteurs de projets. L'objectif étant d'identifier les attentes et valider la démarche choisie.

Une approche ponctuée par la réalisation d’une matrice de positionnement entre les cibles, les secteurs d’activité, les offres de valeurs et l’impact sur la population. Ce travail en amont a permis de dégager tous les mécanismes d’appui existants pour soutenir l’employabilité des jeunes, les porteurs de projets et faciliter l’accès au financement.

Un centre pour l’orientation et l’accompagnement

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Le Centre d’accueil et d’orientation créé pour optimiser le recours au fonds d’impulsion économique a pour mission l’accueil, la sensibilisation, l’orientation, l’analyse socioéconomique, le traitement des objections, la formation et l’accompagnement transversal.

Jusqu’au 10 mai 2019, il a reçu 10.626 personnes (20% de la population de Jerada) et 4.000 demandes: 1.800 demandes spontanées pour la formation, 2.293 demandes pour une première création d’entreprise, 75 demandes d’agrégation et 48 demandes de renouvellement d’entreprise.

En matière de corrélation entre les demandes déposées et  les investissements,  les projets créés généreront quelque 3.000 emplois. S’y ajoutent les emplois qui seront créés par une centaine de petites et moyennes unités au niveau des nouvelles zones industrielles à Jerada, Touissit, Guenfouda et Ain Bani Mathar.

Quant à la mise en place des conventions avec les porteurs de projets, elle est programmée pour le mois prochain (juin 2019) alors que la concrétisation des premiers projets débutera en juillet 2019. Chaque dossier accepté aura une année pour débuter son activité et sera opérationnel en juillet 2020.

Source  : L'économiste

Agriculture : L’huile d’olive de Nador aura son signe d’origine et de qualité

Bonne nouvelle pour les agriculteurs spécialisés dans la production d’huile d’olive dans la région de Nador. Le département de l’Agriculture entend les accompagner dans la mise en œuvre d’un signe distinctif d’origine et de qualité de l’huile d’olive de la région. Le ministère doit recruter le 13 juin prochain une assistance technique pour mener ce processus qui se déroulera en trois phases : appui à l’émergence d’un groupement demandeur, élaboration du cahier des charges du label et le dépôt du dossier de demande de reconnaissance. Le prestataire retenu aura à mener une prospection et une identification des principaux acteurs de la filière et leurs formes d’organisation actuelle. Il aura ensuite à élaborer un plan d’action comprenant les mesures de mobilisation et de sensibilisation autour de l’intérêt de la mise en place d’un signe distinctif d’origine et de qualité avec la réalisation des actions de sensibilisation et de concertation pour l’émergence du groupement demandeur. Le processus devra aboutir à l’élaboration d’un projet de cahier des charges. Ce dernier devra renfermer plusieurs éléments dont la délimitation de l’aire géographique concernée, les éléments prouvant que le produit est originaire de l’aire géographique considérée, les justificatifs du lien existant entre la qualité et les caractéristiques du produit avec l’origine géographique et la description du produit et de la méthode de son obtention. Rappelons que la labellisation a été retenue dans le cadre du Plan Maroc vert, notamment son pilier II.  Selon le ministère de l’Agriculture, depuis l’entrée en vigueur de la loi 25-06 sur les signes distinctifs d’origine et de qualité (SDOQ), 37 produits ont été labellisés. Il s’agit de 30 indications géographiques, 5 appellations d’origine et 2 labels agricoles.

Source : Le Matin

Tourisme/Oriental: Un coup de promo pour booster la destination

Le CRT et la CGEM lancent une action commune
Organisation d’un forum sur le tourisme et le climat des affaires en juin

Les réunions de coordination vont bon train entre le Conseil régional du tourisme de l’Oriental (CRT/O) et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), section Oriental. Le but est de lancer des actions communes et promotionnelles pour la destination.

Dans le pipe également, l’organisation d’un forum, fin juin, sur l’importance des infrastructures touristiques dans l’amélioration du climat des affaires. C’est ce qui a été décidé lors de la réunion du lundi 6 mai, regroupant les bureaux des deux entités. Une rencontre consacrée à la mise en place d’une stratégie commune pour booster l’activité touristique dans la région, via l’implication des entrepreneurs et hommes d’affaires.

Le réseau de la CGEM avec ses 90.000 membres directs et affiliés est en mesure d’enclencher la dynamique convoitée pour la destination. D’abord via ses affiliés et ensuite en initiant une série d’événements à visée économique dans la région.

Le tourisme est hissé dans l’Oriental en levier de croissance et a besoin de stratégies accompagnatrices percutantes pour qu’il puisse aboutir. «C’est ce que peut apporter la CGEM grâce à son expérience, sa vision adaptée à l’évolution des marchés porteurs et sa solidarité à l’égard des secteurs qui créent l’emploi», confie à L’Économiste Nouredine Bachiri, président régional de la CGEM/Oriental.

Depuis la constitution du nouveau bureau, le CRT est en contact permanent avec les professionnels du tourisme et les compétences locales pour promouvoir la destination, échanger les expériences et proposer des alternatives concrètes en accord avec la Vision 2020. Une vision basée davantage sur le qualitatif que le quantitatif.

C’est ce qui explique en partie pourquoi le CRT cible la clientèle CGEM. «Si on arrive à intéresser 20% des adhérents de la CGEM, c’est au moins 18.000 touristes de plus pour la station. S’y ajoute l’effet amplificateur du bouche à oreille», précise un hôtelier de la station.

Intervenant lors de cette rencontre, Yousef Zaki, président du CRT de l’Oriental, a dressé un tableau exhaustif sur l’évolution de la station balnéaire de Saïdia depuis son ouverture en 2009. Comme il a rappelé les principales démarches entreprises pour marketer la destination.

Il a également présenté l’ensemble des partenaires du CRT, les conventions signées, les plans d’action et les réalisations en matière d’infrastructures et renforcement de la capacité litière. Il n’a pas cependant omis de rappeler les défis à relever en matière de qualification des ressources humaines, d’ouverture de la station le long de l’année et de proposition de packages adaptés aux bourses marocaines.

Reste à signaler que la feuille de route du CRT/O pour le développement du tourisme régional s’articule autour du développement du tourisme balnéaire, cultuel, l’écotourisme, le thermal et les produits du terroir.

Source : l'économiste