Autoroute Nador-Guercif: lancement des travaux début 2021

Autoroute Nador-Guercif: lancement des travaux début 2021

Le ministre de l’Équipement, des transports, de la logistique et de l’eau a annoncé, mardi 24 novembre dernier, le lancement des travaux de réalisation du tronçon autoroutier reliant Nador à Guercif pour début 2021.

Cette annonce a été faite lors d’une rencontre qui a réuni les responsables centraux du ministère de l’Équipement et la Compagnie nationale des routes automobiles du Maroc.
Ce projet couvre une distance de 105 km et comprend trois volets à savoir Guercif-Saka sur 36,5 km, Saka-Driouch sur 40,5 km et Driouch-port de Nador, en Méditerranée occidentale, à 27,2 km.
D’un coût global de 5,76 milliards de DH, il va permettre de désengorger ces deux localités et éviter les bouchons interminables des routes nationales 15 et 19.

La province de Taourirt à pied d’oeuvre face à la vague de froid

Le Comité de veille et de suivi de la province de Taourirt a tenu, mercredi, une réunion consacrée à la présentation et au suivi des préparatifs et des mesures proactives prises pour faire face à la vague de froid et aux chutes de neige pendant la période hivernale.

Cette réunion, présidée par le gouverneur de la province de Taourirt, Larbi Touijer, était l’occasion pour présenter et évaluer le plan d’action provincial ayant pour but d’atténuer les effets négatifs de la vague de froid sur la population, en particulier dans les zones rurales et enclavées.

Dans son intervention, M. Touijer a mis en avant l’importance de cette rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des Hautes Instructions royales visant à accorder un intérêt particulier aux habitants des zones montagneuses et à leur apporter l’assistance et l’aide nécessaires pendant les périodes de chute de pluie et de neige.

Et de préciser que l’autorité provinciale a mis en place un plan d’action et d’intervention intégré qui détermine les zones concernées par la vague de froid, tout en analysant les données relatives à la population de ces zones.

Le gouverneur a expliqué dans ce sens qu’il s’agit de 13 douars, comptant environ 1.270 familles et situés à plus de 1.500 m d’altitude, faisant savoir que ces douars relèvent de cinq communes territoriales, à savoir Tancherfi (06 douars), El Atef (03), Oulad Mhamed (01), Sidi Ali Belkacem (02) et Sidi Lahcen (01).

Il a également fait avoir que l’élaboration dudit plan d’action a pris en considération la situation actuelle que traverse le monde entier et le Maroc en particulier et qui est marquée par les efforts de lutte contre la propagation de la pandémie du coronavirus, relevant à cet égard l’importance de l’adaptation du plan d’action au contexte actuel et de veiller au respect des mesures sanitaires préventives.

Rappelant la circulaire ministérielle relative au plan national de lutte contre les effets de la vague de froid et de la chute de neige, M. Touijer a plaidé pour une mobilisation permanente et continue au niveau de tous les douars concernés par la vague de froid, à travers une approche proactive visant à protéger les citoyens contre les effets des aléas climatiques.

Parmi les actions inclues dans le cadre du plan provincial, il a cité, entres autres, la mobilisation des ressources humaines et des moyens logistiques nécessaires, aussi bien du public que du privé, l’actualisation et l’analyse des données socio-économiques des zones cibles, le recensement des femmes enceintes ainsi que des personnes sans domicile fixe (SDF) et des lieux d’hébergement, et l’aménagement de plateformes d’atterrissage d’hélicoptères.

Jerada déploie son arsenal anti-froid

Couvertures, charbon de chauffage, fours améliorés et espaces d’accueil aménagés…
22.280 ménages et 73 douars ciblés par ces mesures

Mieux vaut prévenir que subir les vagues de froid hivernal des hauts plateaux. Cela vaut pour la province de Jerada qui vient de boucler ses préparatifs pour pallier toute éventualité et répondre en temps réel aux attentes des populations et zones ciblées.

Aussi, une importante série de mesures est activée pour prévenir et atténuer les dommages des potentielles perturbations météorologiques qui se profilent à l’horizon. L’approche se veut participative (impliquant tous les acteurs locaux publics et privés) et au service des populations menacées.

L’efficacité de ces interventions nécessite la mobilisation d’un important parc d’engins: 49 unités adaptées au déneigement (dont 19 du secteur privé), 4 tracks, 4 niveleuses et des camions de transport en plus des moyens logistiques urgents en cas de besoin.

S’y ajoutent des interventions ciblées par hélicoptères et ambulances de la Gendarmerie royale et du ministère de la Santé pour sauver les populations en situations critiques, à l’instar des personnes âgées, personnes à besoins spécifiques et femmes enceintes. A ce titre, 13 plateformes aménagées pour l’atterrissage des hélicoptères.

En parallèle, les personnes touchées et ayant perdu leur domicile seront hébergées dans des unités d’accueil, afin de les protéger des répercussions du froid et leur assurer les services nécessaires. De même, des unités médicales mobiles sillonneront la province pour des examens et consultations sur place.

Au total 73 douars et quartiers sont susceptibles d’être touchés par la vague de froid alors que 379 femmes enceintes sont suivies dans 110 en milieu rural. Pour l’ensemble de ces populations, le département de la Santé a mobilisé un staff médical composé de 19 médecins et infirmiers, deux véhicules tout-terrain, 8 ambulances et 2 unités médicales mobiles.

De leur côté, les centres d’accueil pour jeunes, les internats, les centres de santé, les orphelinats, les établissements d’enseignement concernés par la vague de froid et de neige recevront des quantités requises en couvertures, bois de chauffage et fours améliorés dans le cadre du programme annuel du département des Eaux et Forêts.

«Pour réussir ce challenge, l’implication de tous est nécessaire, soit des comités locaux de vigilance, de suivi et d’évaluation», a précisé Mabrouk Tabet, gouverneur de la province lors de sa visite de contrôle au parc d’engins mobilisés à cette opération.
Au total 22.280 ménages, 62 écoles et 13 centres de santé sont ciblés. Ce ne sont pas moins de 6 tonnes de charbon, 13 bouteilles de gaz et 13 bains d’huile qui seront distribués dès cette semaine.

 

Activation des plans de lutte contre le froid à Guercif et Jerada

Les plans de lutte contre la vague de froid se mettent en place dans nombre de localités. Objectif: atténuer les effets de la vague de froid sur les habitants des zones montagneuses pendant cette saison hivernale. Les détails par ville.

A Guercif, le comité provincial de veille et de suivi s’est réuni lundi 30 novembre, afin d’examiner et de présenter une série de mesures proactives, visant à aider la population locale à faire face aux répercussions de la vague de froid, des chutes de neige et des précipitations que connaissent habituellement plusieurs zones de la province en cette période.

L’ensemble des services intervenants ont ainsi été mobilisés en vue d’élaborer ce plan d’action axé sur la rapidité et l’efficacité des interventions. En parallèle, il a été procédé à l’élargissement de la base des communes et douars cibles, en vue d’assurer la disponibilité des interventions en cas d’évènements météorologiques exceptionnels.

Quatre communes territoriales sont concernées par ces mesures, à savoir Berkine, Ras Leksar, Sebbab et Lemrija, totalisant 36 douars et quelques 5.000 ménages. Les besoins des habitants de ces communes, en cas d’enclavement lié aux conditions climatiques, ont été évalués à 5.000 paniers alimentaires et 10.000 couvertures.

Les moyens d’intervention mobilisés pour l’ouverture des routes et pistes en cas de chutes de neige comportent un camion étrave, deux chargeurs et une niveleuse relevant de la direction provinciale de l’Equipement, deux chargeurs sur pneus et une niveleuse appartenant au Conseil provincial et un chargeur sur pneus relevant du groupement des communes El Fath.

Ces engins seront déployés préalablement, après chaque bulletin d’alerte météorologique, sur les tronçons habituellement bloqués pendant les chutes de neige, et ce afin d’assurer une intervention rapide pour la réouverture de ces routes et pistes.

Par ailleurs, des caravanes médicales seront organisées au profit des habitants des douars les plus vulnérables à la vague de froid, à savoir les douars Bni Meqbel, Bni Bouyloul et Tamjilt dans la commune de Berkine et le douar Tamest, dans la commune de Ras Laksar.

A noter qu’en raison des circonstances liées à la pandémie de la Covid-19, le choix a été fait d’organiser des caravanes réduites ciblant les catégories les plus vulnérables aux effets de la vague de froid, notamment les femmes enceintes, les malades chroniques et les enfants.

D’autre part, la direction provinciale des Eaux et forêts a procédé, durant le mois de novembre, à la distribution de 100 fours améliorés au niveau de la commune de Berkine.

En outre, quatre points d’atterrissage d’hélicoptères, utilisés pour l’évacuation en cas de nécessité, ont été aménagés dans les communes de Berkine et de Ras Laksar.

Mobilisation anticipée à Jerada

Une réunion similaire tenue au siège de la préfecture de la province de Jerada a connu la présentation d’un exposé détaillé sur le plan d’action pour la gestion des risques et la protection contre les effets de la vague de froid via l’interaction positive avec les bulletins d’alerte, la mobilisation des moyens requis, l’évaluation continue de la situation, et la coordination entre les différentes parties pour que les interventions soient rapides et efficaces.

Le plan vise une mobilisation anticipée des moyens humains et logistiques nécessaires, l’organisation des opérations d’assistance et de secours sur le terrain, le rétablissement de certains services, et la fourniture de statistiques et informations concernant notamment les zones cibles, les femmes enceintes, et les personnes sans-abri et les établissements devant les accueillir, en sus du recensement des engins, des secteurs public et privé, mobilisés pour les opérations de déneigement.

Le plan met l’accent également sur les mesures sanitaires prises pour la prise en charge des habitants touchés, la mobilisation des moyens de chauffage, les plateformes d’atterrissage d’hélicoptères, déjà créées ou à aménager, les besoins en produits alimentaires en cas d’enclavement et les moyens de communication.

Selon les données des autorités provinciales, les mesures sanitaires portent, entre autres, sur la mobilisation d’un staff médical de 19 médecins et infirmiers, deux véhicules tout-terrain et 10 unités mobiles.

Oujda : La culture et l’art, créneaux de développement

La culture et l’art contribuent largement au développement, ont souligné les participants à un webinaire organisé dans le cadre de la 9ème édition du Festival maghrébin du film.

Les intervenants ont fait remarquer qu’à cause de cette pandémie, le secteur culturel a été durement affecté dans son potentiel de production. Et de relever que cette situation a conduit à une prise de conscience chez les responsables et des décideurs de l’importance de la culture en tant que secteur productif, et du rôle qu’elle joue à plusieurs niveaux (animation sociale, création d’emplois, maintien du lien social,…).

La situation liée à la Covid-19 a montré aussi la capacité de créativité, d’invention et de résilience de la culture à travers l’organisation de grandes rencontres culturelles où le digital remplace la magie du live, ont-ils encore ajouté.

Pour certains participants, cette crise a permis ainsi de se rendre compte que le cinéma avait occupé une très grande place dans le développement du champ culturel, affirmant à cet égard que le cinéma est un indicateur de la démocratie dans un pays, de la liberté de créer et de s’exprimer, et du degré d’ouverture d’une société. Estimant que le cinéma a une omniprésence dans le champ culturel et le vécu des gens, ils ont mis l’accent sur l’impact et les conséquences néfastes du coronavirus sur le septième art et son industrie. L’accent a été mis aussi sur le développement des infrastructures culturelles et du secteur du cinéma dans le Maghreb, plus particulièrement au Maroc, et un appel a été lancé à cette occasion pour le renforcement de la coopération dans ce domaine entre les pays du Maghreb et les autres pays du continent africain.

De l’avis des intervenants, la reprise du cinéma après Covid-19 ne sera pas facile, arguant que suite à un entracte forcé et un arrêt de la production cinématographique, il faudra déployer beaucoup d’efforts non seulement en terme de production mais aussi au niveau de la mise en exploitation.

Dans cette veine, ils ont évoqué le besoin d’un véritable projet culturel qui pourrait être une vraie base pour pouvoir relancer la culture et l’art dans les pays du Maghreb, mettant en avant l’impératif de l’implication du secteur privé et des acteurs associatifs.

S’agissant des perspectives, les intervenants se sont montrés confiants quant à l’avenir du cinéma après cette pandémie qui a révélé les vrais problèmes du secteur cinématographique.

Ce webinaire a connu la participation de Mohammed Mbarki, directeur général de l’Agence de développement de l’Oriental, Amer Chergui, réalisateur et critique de cinéma (Maroc), Lamia Belkaied Guiga, universitaire (Tunisie), Pierre Mateo, directeur de l’Institut français d’Oujda, Kamal Kamal, réalisateur-producteur et scénariste (Maroc), Khalil Damoun, critique de cinéma (Maroc), Mehamdi Djamel, auteur et critique de cinéma (Algérie) et Khalid Zaïri, producteur (Maroc).

Source : L’Opinion

Festival maghrébin du film d’Oujda: «La Guérisseuse» remporte le Grand Prix de la catégorie longs métrages

Le film «La Guérisseuse» du réalisateur marocain Mohamed Zineddaine a remporté, dimanche, le Grand Prix de la catégorie longs métrages de la 9e édition du Festival maghrébin du film d’Oujda (FMFO), tenue sous format digital.

Le Prix du meilleur réalisateur est allé au Marocain Hassan Benjelloun pour son long métrage «Pour la cause», alors que le Prix du Jury a récompensé le réalisateur tunisien Walid Tayaa pour son film «Fataria».

Dans la catégorie des courts métrages, le Grand Prix est allé au film «Parfum» du Marocain Houcine Chani, alors que le Tunisien Amine Lakhnech a remporté le Prix du meilleur réalisateur pour son film «True Story». Le Prix du Jury est allé, quant à lui, au film «Ghost of Spacetime» de Karim Tajouaout (Maroc).

Dans une allocution diffusée à cette occasion, Khalid Sli, directeur du festival et président de l’Association Ciné-Maghreb, organisatrice de cet événement, s’est félicité du succès de cette édition, organisée pour la première fois sous format virtuel en raison des circonstances liées à la pandémie de la Covid-19. Grâce à la diffusion en ligne des différentes activités et programmes du festival, le nombre des participants et du public du FMFO a connu une très forte augmentation cette année, a-t-il affirmé, précisant que le public, qui se limitait à quelques milliers lors des éditions présentielles, a dépassé cette année 1,5 million de spectateurs qui ont suivi une ou plusieurs projections et activités diffusées sur le site web officiel du festival et sur ses réseaux sociaux.

Le succès est tel que le festival maintiendra des versions digitales lors des prochaines éditions présentielles, a annoncé Khalid Sli, exprimant ses remerciements pour les différents partenaires de cet évènement cinématographique maghrébin, notamment la Wilaya de l’Oriental, l’Agence de l’Oriental, le Centre cinématographique marocain, l’Université Mohammed Premier d’Oujda et plusieurs autres partenaires.

La cérémonie de clôture virtuelle de ce festival (25-29 novembre) a été marquée par un hommage rendu au dramaturge, metteur en scène et scénariste marocain Abdeslam Loudiyi.

Organisée sous le thème «Oujda, Carrefour du Cinéma Maghrébin», cette édition a connu la participation de six longs métrages et de 12 courts métrages à la compétition officielle.

Outre les projection des films participants, le programme de cette édition a comporté un ensemble d’ateliers, de masterclass et de webinaires avec des personnalités de renom du monde du cinéma et de la culture du Maghreb et d’ailleurs.

Source : Le Matin

Nador: La Marine royale porte assistance à 50 Subsahariens candidats à la migration irrégulière

Les gardes-côtes de la Marine royale ont porté assistance, mercredi au large de Nador, à 50 Subsahariens candidats à la migration irrégulière, a-t-on appris jeudi de source militaire.

Ces candidats se trouvaient en difficulté à bord d’une embarcation de fortune très vétuste, a-t-on indiqué de même source, ajoutant que parmi eux se trouvaient quatre cadavres de deux femmes et deux bébés.

Les secourus ont reçu les soins nécessaires à bord des unités de la Marine royale, avant d’être ramenés au port de Nador et remis à la Gendarmerie Royale pour les procédures d’usage, a-t-on précisé.

 

Agrumes: malgré la crise, d’éventuelles bonnes affaires pour les agriculteurs de Berkane

Malgré toutes les difficultés qui ont accompagné la saison agricole actuelle, les exportateurs d’agrumes de l’Oriental comptent bien tirer leur épingle du jeu, sans trop de dégâts. Explications et reportage.

Malgré une série de difficultés et d’aléas climatiques (Covid-19, sécheresse et baisse du niveau des barrages), les agriculteurs du bassin de la Moulouya gardent espoir et comptent bien exporter leurs agrumes.

En plus des pays importateurs traditionnels comme la France et de l’augmentation de la demande dans les marchés d’Amérique du Nord, d’autres débouchés s’ouvrent à eux, comme l’Inde.

En témoigne l’activité incessante de cette unité de conditionnement et d’emballage que Le360 a visitée à Madagh, dans la province de Berkane, emploie des hommes et des femmes de la région, à raison de 2 millions de journées de travail sur la totalité de la saison agricole. Quant aux exportations, elles génèrent près de 600 millions de dirhams annuellement.

Selon des responsables régionaux du ministère de l’Agriculture, la superficie des cultures d’agrumes est actuellement de plus de 21.000 hectares dans la région, soit 20% de la superficie totale des plantations d’agrumes au Maroc.

les infrastructures routières occupent une place de choix dans le budget 2021

Le budget qui sera alloué aux chantiers routiers à travers la mise en œuvre de 20 conventions dépasse 659 millions de DH, rapporte Les Inspirations Éco. En tout, 400 millions seront débloqués en 2021 pour la construction de la voie express reliant Tiznit à Laâyoune dont le financement global s’élève à 1,2 milliard de DH. Le gouvernement espère obtenir 1,5 milliard de DH de la part des autres partenaires.


Les travaux de tous les tronçons seront poursuivis l’année prochaine. Une enveloppe budgétaire de 1,2 milliard de DH servira à financer les projets à lancer dans le cadre du programme de réduction des inégalités dans le milieu rural. Cette enveloppe sera transférée du fonds spécial des routes au fonds de développement rural.
Au nombre des projets à exécuter en 2021, on peut citer entre autres, le raccordement du port de Nador au réseau autoroutier pour un investissement de 4,5 milliards de DH, la signalisation (10 projets) et les nouvelles autoroutes (Berrechid-Tit Melill). Un montant de 375 millions de DH sera débloqué pour la sécurité routière.

Source : Bladi.net

Oujda: Un centre pour femmes en situation difficile

Un centre pour aider les femmes en situation difficile à Oujda. La structure, inaugurée mardi, a nécessité un investissement de 4,5 millions de DH, financé par l’INDH et l’Entraide nationale et la Commune d’Oujda dans le cadre du programme d’accompagnement des personnes en situation de précarité.

L’objectif du complexe « Zohour » est d’aider les femmes en situation difficile ou victimes de violences en contribuant à leur qualification et en renforçant leurs capacités, tout en leur apportant le soutien psychologique et moral et une assistance médicale, indique la wilaya. Le centre permettra aussi d’apporter une assistance juridique et l’orientation nécessaire aux femmes en situation difficile. Les bénéficiaires pourront obtenir une formation dans différents métiers (cuisine, pâtisserie, couture…), de manière à leur assurer une autonomie économique et sociale.

Source : L’économiste