MARHABA 2016 : 176.000 MRE ONT DÉJÀ REGAGNÉ LE ROYAUME

MARHABA 2016 : 176.000 MRE ONT DÉJÀ REGAGNÉ LE ROYAUME

Un total de 166.991 Marocains résidant à l’étranger (MRE) ont regagné le Maroc via les différents points de passage du Nord-Est du Royaume depuis le lancement de l’opération « Marhaba 2016 » et jusqu’au 17 juillet, en baisse de 9 pc par rapport à la même période de l’année 2015.

Selon les statistiques de la Direction Régionale des Douanes du Nord-Est (couvrant Nador, Oujda et Al Hoceima) qui s’étendent sur la période allant du 5 juin au 17 juillet 2016, le poste frontalier de Bab Melilia a connu 45.264 arrivées contre 2.118 pour le port de Nador et 1.704 arrivées pour le port d’Alhoceima.

L’aéroport de Nador El Aroui a enregistré 49.860 arrivées, contre 42.501 pour celui d’Oujda Anjad et 6.544 pour celui de Cherif Idrissi d’Alhoceima.

Le nombre des MRE ayant quitté le territoire national durant la même période a atteint 78.344 personnes dont la majorité ont quitté le pays via l’aéroport Nador EL Aroui (27 082), Oujda Anjad (22 072), Bab Melilia (19 861) et le port de Nador (8050).

Pour ce qui est des véhicules ayant traversé les différents points d’accès dans le Nord-est du Royaume, la même source fait état de 30 514 arrivées et 7.234 départs.

Il est à noter que le nombre des MRE ayant transité durant « l’opération Marhaba 2015 » par les différents points d’accès au Nord-Est du royaume s’est élevé à 1.146.803 personnes en 2015, contre 1.012.159 en 2014.

En vue d’assurer le bon déroulement de cette opération, la direction régionale des Douanes du Nord-est a annoncé avoir adopté une série de mesures qui concernent la mise en place des moyens logistiques nécessaires et les mobilisation des ressources humaines.

Source: LaNouvelleTribune

Figuig: Signature de 10 conventions de partenariat pour la réalisation de projets de développement pour un investissement de 72,4 MDH

Dix conventions de partenariat pour la réalisation de projets de développement dans la province de Figuig, ont été signées, lundi à Figuig, pour un investissement global de 72.430.500 millions de dirhams (MDH).

Ces conventions portent notamment sur la création d’un centre touristique à Figuig pour une enveloppe budgétaire de 28 MDH, avec une contribution de 18 MDH du Conseil de l’Oriental et 10 MDH de l'Agence pour la promotion et le développement économique et social de la préfecture et des provinces de la région orientale.

Ce projet a pour objectif de valoriser les potentialités naturelles et patrimoniales, renforcer le tissu économique à travers le développement du secteur touristique, créer des activités parallèles, connecter la région aux axes touristiques nationaux, encourager l’investissement local et étranger, créer des emplois et développer les produits locaux.

Il s'agit aussi de la création d’une unité pour la valorisation et la commercialisation du romarin et ses extraits à la commune Talsint (6.6 MDH), d’une unité pour la valorisation et la commercialisation du cumin et l’aménagement des fermes de production aux communes Bni Guil et Aïn Chaïr (6.1 MDH), d'une unité de tonnage, de traitement de laine et de production du fil à la commune de Tendrara (5.7 MDH) et d’une unité d’élevage des chameaux à la commune Ain Chouater (5.530.500 MDH).

Ces conventions concernent aussi la mise en place d’une unité de production et de commercialisation de la pierre d'Eich à la commune Bni Guil (5.2 MDH), d’une unité d’apiculture et de production et de valorisation du miel à la commune Boumeriem (5.1 MDH), d’une unité de valorisation et de commercialisation des olives à la région Takitount à la commune Beni-Tadjit (4.5 MDH), d'une unité de production du poivron rouge et ses extraits sera crée à Mengoub, dans la commune Bni Guil (3.1 MDH) et d'une unité d’aviculture pour la production des œufs et des poussins à la commune Aïn Chaïr (2.6 MDH).

A cette occasion, le directeur de la division de l'Action sociale de la province de Figuig, Ahmed Dazir, a indiqué que ces projets permettront la création de 3.838 emplois fixes et 4.244 emplois saisonniers et contribueront à la relance économique de la province, à l’amélioration du revenu des habitants à atténuer le phénomène de la migration.

Plusieurs parties ont contribué à ces projets, notamment le Conseil de la région de l’Oriental (35.7 MDH), l’Agence de développement de l’Oriental (15 MDH), le conseil provincial de Figuig (plus de 10 MDH), l’Initiative nationale pour le développement humain (3.6 MDH), la direction provinciale de l’agriculture (environ 3.4 MDH), l’Agence du développement social (plus de 1.1 MDH) et la direction régionale des eaux et forêts (1MDH).

La cérémonie de signature a été marquée par la présence du Wali de la région de l’Oriental, Mohamed Mhidia, le président du conseil régional de l’Oriental, Abdenbi Bioui, le gouverneur de la province de Figuig, Mohamed Rochdi, le directeur général de l'Agence pour la promotion et le développement économique et social de la préfecture et des provinces de la région orientale, Mohamed Mbarki, le président du conseil provincial, le président de la commune urbaine de Figuig, le directeur régional de l’agriculture, le président de la chambre régional de l’artisanat et les élus, les présidents et les représentants des services extérieurs.

Activité phoenicicole: Le Royaume du Maroc tient le 3e rang à l’échelle du Maghreb et la 7e place à l’échelle mondiale.

Au Maroc, La production de dattes s’élève à plus de 100.000 tonnes. Quant à la consommation, elle s’élève à 3 kg/habitant, contre 15 kg/habitant au niveau des zones de production. Le patrimoine phoenicicole est concentré au niveau de trois régions principales: Ouarzazate (41%), Tafilalet (28%) et Tata (20%). Les régions d’Ouarzazate et d’Errachidia contribuent à elles seules à hauteur d’environ 90% de la production nationale de dattes.

L’aire géographique du palmier dattier au Maroc s’étale sur 13 provinces situées au Sud-est du Maroc: Figuig, Errachidia, Tinghir, Ouarzazate, Zagora, Tata et Guelmim. Ces provinces représentent près de 98% du patrimoine phœnicicole national.

L’activité phœnicicole participe de 40 à 60% à la formation du revenu agricole pour plus de 1,4 million d’habitants. Et contribue ainsi à la création de 1,6 million de journées de travail, soit l’équivalent de 6.400 travailleurs permanents, à raison de 250 journées par an. Néanmoins, la filière fait tout de même face à un certain nombre de défis tels que: un déficit de production de vitroplants et un mix variétal non adapté aux besoins des investisseurs. Ceci implique un ralentissement de l’investissement de la filière notamment dans le cadre des projets de Partenariat Public-Privé (PPP).

Le Maroc importe 30% de ses besoins en dattes et l’approvisionnement du marché local par la production nationale devrait constituer une priorité dans le but de couvrir la demande nationale notamment durant la période de Ramadan. En effet, le déficit en capacités frigorifiques limite le calendrier et le potentiel de commercialisation des producteurs.

Promouvoir et développer le secteur phoenicicole
Dans le but de promouvoir et développer le secteur phoenicicole, l’Etat a entrepris diverses actions qui visent à renforcer les structures de recherche, d’encadrement et d’inciter les agriculteurs à la restauration de leurs palmeraies via une réorganisation professionnelle de la filière à différents niveaux de production, d’interprofession et de valorisation des dattes. L’instauration en 2007 de la loi 01-06 relative au développement durable des palmeraies et à la protection du palmier dattier; Et enfin, la création, en novembre 2009, de l’Agence Nationale pour le Développement des Zones Oasiennes et de l’Arganier (ANDZOA).

Un contrat programme pour le développement de la filière phoenicicole
Un contrat programme pour le développement de la filière phoénicicole a été signé en 2010 entre le Gouvernement et l’Interprofession (FIMADATTES). Ce contrat programme vise la réhabilitation et la reconstitution des palmeraies existantes sur une superficie globale de 48.000 ha et l’extension des plantations à l’extérieur des palmeraies, sur une superficie de 17.000 ha. L’objectif étant d’atteindre une production de 160.000 tonnes à l’horizon 2020.

Le contrat programme vise aussi à renforcer les disponibilités nationales de vitroplants en portant la capacité annuelle moyenne de production à 300.000 plants entre 2010 et 2020 (contre 60.000 plants/an lors du quinquennat 2005-2009). Ce contrat programme a également pour objectif le développement des exportations des dattes de qualité supérieure dans le but d’atteindre 5.000 tonnes en 2020. Mais aussi, la valorisation d’un tonnage global de 110.000 tonnes, soit près de 70% de la production attendue à l’horizon 2020, dont 70.000 tonnes en dattes fraiches conditionnées, 20.000 tonnes en produits transformés et 20.000 tonnes en aliments de bétail.

Suite à la mise en oeuvre du Plan Maroc Vert, la production de dattes a atteint 108.000 tonnes en 2013, soit +15% par rapport à l’année 2010, date du début du contrat programme.

Nador : hausse record des exportations d’artisanat

La province de Nador a connu une augmentation record de son volume d'exportations d’artisanat qui a dépassé 3,79 MDH en avril dernier, soit une hausse de 125% par rapport à la même période de l’an dernier.

Selon la Direction provinciale de l’artisanat de Nador, l’ensemble des produits artisanaux ont réalisé une bonne performance au cours du mois d’avril. Ainsi, les produits en cuivre et les couvertures occupent le premier rang parmi les produits exportés avec des hausses de 361% et de 193% respectivement, suivis des chaussures qui affichent une augmentation de 57%, des vêtements traditionnels qui alourdissent leur part de 34% et du bois avec un surplus de 30%. La déclaration a été faite par le ministère de l’Économie sociale et solidaire via un communiqué.

Les exportations des produits d'artisanat au niveau de la province de Nador ont généré plus de 13,341 MDH en 2015, contre 744.708 DH en 2014, a indiqué la Direction dans un rapport.

Par ailleurs, les exportations marocaines d’artisanat ont augmenté, au cours du mois d’avril 2016, d’environ 28% par rapport à la même période de l’année précédente.

Sorce: Leséco

UNE NOUVELLE LIGNE NADOR-ALMERIA AU PREMIER SEMESTRE 2017

Après Tanger Med-Algesiras, Nador-Almeria pourrait bien être la deuxième liaison maritime assurée par la nouvelle compagnie maritime Africa Morocco Link.
 
Selon des médias espagnols, les autorités portuaires seraient actuellement en négociation avec la nouvelle compagnie en vue de renforcer les dessertes couvrant ce port. C’est dans ce sens qu'Africa Morocco Link devrait démarrer, dès le premier semestre 2017, une liaison entre le port de Nador et celui d’Almeria, une ligne où elle sera en concurrence avec deux compagnies espagnoles, Transméditéranéa et Armas.
 
Par ailleurs, les mêmes sources assurent qu’Africa Morocco Link devrait lancer, parallèlement à la liaison Nador-Almeria, trois autres dessertes reliant Nador et Tanger à Sète, puis Tanger au port italien de Gènes.
 
D’ici la saison estivale 2017, la nouvelle compagnie maritime nationale devrait donc avoir atteint sa vitesse de croisière, avec une flotte d’au moins six navires en activité.

Source: Le360

Festival international du Raï d’Oujda : L’exquise et vénuste Latifa Raafat ouvre le bal

Exquise et vénuste, la diva de la chanson marocain, Latifa Raafat, a ouvert, samedi soir au Théâtre Mohammed VI, le bal de la 10ème édition du Festival international du Raï d’Oujda (FIRO), offrant à ses mélomanes un agréable moment musical, rythmé par la chaleur de son timbre, la mixité de son répertoire et la sympathie de sa présence.


La chanteuse, au style raffiné, a réussi à créer une énergie contagieuse qui donne une impression immédiate de délicatesse. Elle a, ainsi, su sublimer le public oujdi qui s’est déplacé en masse pour assister à son concert, en vue d’exprimer avec ferveur les sentiments d’admiration et d’affection qu’ils vouent à leur star préférée.


Subjugués et conquis, les festivaliers qui apprenaient déjà ses chansons par cœur, étaient en complète osmose avec la diva qui n’a pas manqué d’interpréter avec brio un florilège de ses tubes puisés de son riche répertoire classique marocain, notamment ses fameux titres, “Walou”, “Maghyara”, “Kouna W Kentou”, “Twahachtek Bezaf” et “Awah Awah”.
Conformément à l’esprit du FIRO et sa vocation à promouvoir la diversité culturelle, le concert de Latifa Raafat a été précédé, en première partie, par un spectacle de la troupe d’Aïn Beni Mathar relevant de l’association Al Houria. Vêtues de Takchitas blanches (costumes traditionnels marocains) et munies de bendirs, les femmes parées de leurs plus beaux bijoux, ont fait leur entrée avec des soubresauts accompagnés de danses.


La troupe se balançait d’avant en arrière au son d’une mélopée improvisée. Un thème musical qui brode, un rythme qui s’en empare aussitôt, lui donnant une forme et une contexture rigide que la danse rend plus souple.


Lors d’une conférence de presse tenue peu avant son concert, Latifa Raafat a exprimé sa joie de pouvoir se produire pour la troisième fois à Oujda dans un festival qui a su se démarquer, mettant en avant la place de la chanson marocaine qui a réussi à préserver son identité.


Considérée comme l’une des plus grandes icônes de la musique du monde arabe, la chanteuse e exprimé sa fierté d’être restée fidèle au style de la chanson marocaine authentique qui a pu asseoir sa notoriété sur la scène arabe. Elle a toujours privilégié le choix de paroles sincères et de mélodies raffinées, en veillant à son authenticité.


Tout au long de sa carrière artistique, elle a travaillé avec de grands musiciens marocains tels que, Abdelati Ammana, Jamal Al Amjad, Mohmoud El Idrissi et Ahmed Alaoui. Elle a, par ailleurs, su hisser le drapeau de la musique marocaine ainsi que celui de la beauté et du raffinement dans tous les pays du Maghreb et du Moyen Orient.


Nommée la nouvelle égérie d’une marque cosmétique suédoise et ambassadrice beauté, l’icône de la chanson marocaine a offert une prestation empreinte de magie et de finesse, captivant le public, qui a longuement ovationné, exprimant son admiration pour la qualité du spectacle.


Native de Kénitra, Latifa dispose d’une des plus belles discographies de la chanson marocaine avec des titres comme “Donia”, “Al Hamdo Li Llah”, “Ya Hali Ya Aachrani” ou encore “Ana fi Arek Ya Yama”.
La cérémonie d’ouverture de ce festival, placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI et organisée par l’Association Oujda Arts, s’est déroulée en présence notamment du président du Conseil régional de l’Oriental, du wali de la région de l’Oriental et gouverneur de la préfecture d’Oujda-Angad, et de l’ambassadeur de l’Inde, Dinesh Kuamar Patnaik, et a été marquée par un hommage particulier rendu au président du Groupe d’amitié Union européenne-Maroc, Gilles Pargneaux.


Pendant huit jours, cette 10ème édition rassemblera une palette d’artistes de tous genres confondus, dont de grands noms de la scène marocaine et panarabe, outre des stars de renommée internationale, en proposant aux festivaliers une programmation originale, riche et éclectique qui offre un aperçu saisissant de la création musicale Raï, répartie sur la scène d’honneur et la scène place Ziri Ibn Atia.

Source: MAP

Oujda: Le parking Bab Sidi Abdelwahab opérationnel

Oujda se dote de son premier parking de 2 niveaux sous-sol (550 places) réalisé aux alentours de la médina. Sa proximité de la place de Bab Sidi Abdelwahab, qui connaît une intense circulation piétonnière et automobiliste le long de la journée, est un avantage commercial.

Plus de 200.000 usagers (38% de la population d’Oujda) traversent quotidiennement cet espace et sont confrontés à des difficultés de stationnement et de déplacement, précise une étude réalisée par les services municipaux. La réalisation de ce nouveau parking est le premier d’une série d’espaces prévus à cet effet dans plusieurs endroits de la ville, qui manque cruellement de lieux de stationnement.

C’est le cas pour le prochain parking de la place Jeddah (600 place) mais qui n’a pas encore trouvé preneur.  Et les 70 espaces parkings loués par la commune urbaine d’Oujda, via des appels d’offres non renouvelables, n’arrivent plus à contenir un parc automobile de 55.000 voitures.


Le nouveau parking «Bab Sidi Abdelwahab» est achevé depuis une semaine et n’attend que son inauguration officielle pour atténuer la problématique du stationnement en surface qui entrave la fluidité de la circulation, notamment aux heures de pointe et en été avec l’arrivée des MRE. Pour un trafic quotidien de plus en plus intense, il y a à peine 400 places pour le stationnement au niveau du centre-ville. De plus, les parkings, qui longent les trottoirs et places publiques, ne sont pas commodes.


La construction de ce parking a nécessité 38 millions de DH financés par l’Association musulmane de bienfaisance d’Oujda (AMBO) en partenariat avec la wilaya, l’Agence de développement de l’Oriental et Al Omrane/Oujda, qui ont débloqué chacune 4 millions de dirhams. Il générera 3 millions de dirhams de recettes par an (250.000 DH par mois) suite à un appel d’offres qui a connu la participation de quatre sociétés de gestion.

La totalité de ces revenus sera mise à la disposition de Dar Alfatate, Dar Tifle, la maison des personnes âgées, l’association Al Amal pour la protection des enfants victimes des drogues, le Centre des études et recherche en sciences humaines d’Oujda. «Grâce à ces recettes et celles du prochain parking (250 places) qui sera réalisé derrière souk Melilla, nous assurerons des revenus stables à ces maisons et centres dédiés aux œuvres caritatives et accompagnement des personnes démunies ou en situations difficiles», confie à L’Economiste Khalid Mouttahid, secrétaire général adjoint de l’AMBO.  D’autres projets sont dans le pipe pour assurer une totale indépendance financière à ces centres de bienfaisance qui ne subsistent que grâce aux dons de bienfaiteurs de la ville.

Source: l'économiste

Protection de l’environnement: Plages Propres ouvre sa 17ème saison

89 plages du Royaume, de Saïdia à Dakhla, participeront cet été au programme «Plages Propres». Lancée en 1999 par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, l’opération de nettoyage et de propreté des plages est devenue aujourd’hui un programme environnemental complet, allant de la propreté à l’aménagement, en passant par la sécurité, l’animation, l’éducation et la sensibilisation.

En chiffres, «Plages Propres», c’est 2.200 nageurs sauveteurs mobilisés, 69 plages balisées, 54 centres de premiers soins gérés par des cadres médicaux et des volontaires du Croissant Rouge Marocain… C’est aussi des animations et des activités d’éducation au développement durable qui seront axées cet été sur l’information des estivants, notamment les plus jeunes, sur la COP 22 qu’accueille le Maroc et sur les effets des changements climatiques.

Source: Le Matin

Plan Maroc Vert: 250 MDH pour la filière phoenicicole

Financé conjointement par le gouvernement marocain (100 MDH) et le gouvernement belge (150 MDH), ce projet vise la valorisation des palmiers dattiers dans les oasis, notamment dans les provinces de Figuig, Errachidia, Tinghir, Ouarzazate, Zagora, Tata, Guelmim er Assa-Zag, via l’agrégation des producteurs dans des GIE professionnels ayant la capacité de conquérir le marché avec des produits compétitifs et de qualité.

S’étalant sur une durée de 60 mois, ce projet s’inscrit dans le cadre du pilier II du Plan Maroc Vert relatif à l’agriculture solidaire, et aspire, à travers l’encadrement des petits agriculteurs et le renforcement de leurs capacités professionnelles et commerciales, à contribuer à la réalisation des objectifs du contrat-programme (2010-2020) pour le développement de la filière phoenicicole.

Ce projet a également pour but la contribution des petits agriculteurs à la mise en place d’unités opérationnelles de valorisation visant à commercialiser des quantités importantes de dattes pouvant percer des marchés concurrentiels grâce à l’adoption d’un système administratif efficace au niveau des GIE, la mise en place des principes du développement durable en matière de coordination, d’accompagnement, de soutien, et de conseil, et le renforcement de la participation des femmes et des jeunes dans la chaîne de production des dattes. La cérémonie du lancement du projet d’appui aux GIE a connu la présence d’éminentes personnalités, notamment le secrétaire général du département de l’agriculture, l’ambassadeur de Belgique au Maroc, le gouverneur de la province d’Ouarzazate, le directeur général de l’Agence nationale pour le développement des zones oasiennes et de l’arganier (Andzoa), la représentante de la coopération technique belge, le président de la Chambre agricole de la région Drâa-Tafilalet, et le président de la Fédération interprofessionnelle marocaine des dattes (Fimadattes).

Le ministère de l’agriculture et de la pêche maritime a procédé depuis le début de la mise en œuvre du contrat-programme pour le développement de la filière phoenicicole, notamment dans le cadre de son 4ème axe relatif à l’amélioration du cadre organisationnel de la filière, à encourager les agriculteurs et les coopératives à former des GIE (24 actuellement) et à les inciter à une adhésion effective pour augmenter la valeur ajoutée de l’agriculture solidaire au niveau des oasis traditionnelles.

Source: Aujourdhui.ma

Nador : 61 certificats négatifs délivrés pour la création d’entreprises au cours du mois de juin

Selon un communiqué de la délégation provinciale du commerce et de l’industrie de Nador, le Bureau chargé de la propriété industrielle et commerciale et le CRI ont reçu au cours du mois de juin 67 demandes de certificats négatifs, dont 61 ont été satisfaites, soit une baisse de 15,2 % en comparaison avec le mois de mai.

La répartition de ces certificats par secteur d’activités place le secteur des services en tête avec 47,5 pc, suivi du commerce (26,5 %) et du bâtiment et travaux publics (26,5 %), précise la même source.

Par nature juridique, la société à responsabilité limitée (SARL) demeure la plus sollicitée par les opérateurs économiques avec 59 %, suivie des sociétés à responsabilité limitée à associé unique (29,5 %) et les personnes physiques (11,5 %).

Le Bureau chargé de la propriété industrielle et commerciale et le CRI avaient remis 678 certificats négatifs pour la création d’entreprises au titre de l’année 2015, contre 756 certificats une année auparavant.

Source: Aujourdhui.ma