Programme estival de l’ONEE: Un village de loisirs voit le jour à Jerada

Programme estival de l’ONEE: Un village de loisirs voit le jour à Jerada

Dans le cadre de sa contribution à l’animation des villes, l’Office national l’électricité et de l’eau potable (ONEE) a instauré un village de loisirs à la place Alamal de la ville Jerada.

C’est en partenariat avec la province de Jerada ainsi que la commune urbaine de la ville que ce village a pu être mis en place et ce depuis le début du mois d’août. Selon les responsables de l’ONEE, ce village est installé pour «offrir plusieurs ateliers destinés aux enfants et aux jeunes de la ville ainsi que des jeux de divertissements.

Sans oublier l’animation quotidienne pour les visiteurs». L’Office a aussi célébré la journée nationale des Marocains résidant à l’étranger (MRE) qui a eu lieu le 10 août, en organisant un concert artistique animé par une panoplie de groupes folkloriques locaux ainsi que par l’artiste de la Reggada, Amine Hamdaou. «Un tel concert a créé de l’ambiance dans la ville et a contribué à son animation culturelle», annonce l’ONEE

Rappelons que le village de loisirs s’inscrit dans le cadre du programme estival de l’Office destiné à toutes les régions du Royaume.

Source : Aujourd'hui.ma

Commémoration aujourd’hui du 63ème anniversaire du soulèvement d’Oujda

Le peuple marocain célèbre, mardi, le 63ème anniversaire du soulèvement patriotique du 16 Août 1953 à Oujda, une date qui restera à jamais gravée en lettres d'or dans les annales de la lutte du Trône et du peuple pour le recouvrement de l'indépendance et la défense de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale.


Cet événement phare, qui représente la première étincelle de la Révolution du Roi et du Peuple, constitue également une page rayonnante de l'histoire contemporaine du Royaume, reflétant la grandeur du peuple marocain et sa soif pour la liberté, et illustrant l'héroïsme, les sacrifices des habitants de l'Oriental et leur mobilisation derrière le Trône alaouite pour la défense de la souveraineté nationale.


Le soulèvement du 16 Août 1953, qui a été mené par des nationalistes de l'Oriental, a permis à cette région d'entrer dans l'histoire par la grande porte. Cette région est devenue ainsi l'une des forteresses nationales, les plus résistantes face aux forces de l'occupant, qui voulait la voire soumise.


Ce soulèvement est intervenu dans un contexte de tension ayant précédé l'exil du regretté Souverain et des membres de la Famille Royale.
Les Oujdis qui ont pressenti le danger qui planait sur le Roi légitime, ont défié l'appareil répressif de l'occupant pour s'engager dans la désobéissance à l'ordre colonial et contre la présence des forces étrangères.


Déterminées à mettre fin à l'occupation et à insuffler un nouvel élan au mouvement nationaliste en gestation dans les autres régions, les populations de l'Oriental ont voulu, à travers cet élan de révolte, montrer qu'elles n'allaient jamais baisser les bras face aux manœuvres viles de l'occupant, et exprimer leur attachement indéfectible au Sultan Feu S.M Mohammed V.


Dans un discours adressé à la Nation, à l’occasion du lancement de l’Année internationale de la culture de la paix, S.M le Roi Mohammed VI s’est dit heureux que soit lancée "la campagne de l’Année internationale de la culture de la paix, dans la ville d’Oujda, aux frontières orientales de notre Royaume", soulignant que "cette ville est digne de cet honneur (…) en raison de l’esprit de combat et de jihad qu’elle a concrétisé et concrétisé encore en faveur du droit qui constitue le fondement de la paix".


"Il suffit de rappeler ici le soulèvement du 16 Août 1953 et les sentiments de patriotisme authentique avec lesquels la ville combattante d’Oujda avait à l’époque affronté le colonialisme", a relevé le Souverain. Et d’ajouter que "c’est également la ville qu’avait choisie notre grand père Feu Sa Majesté Mohammed V, que Dieu ait son âme, pour adresser, au nom de la conscience mondiale, son appel historique pour que les bienfaits de l’indépendance soient étendus à l’ensemble des pays du Maghreb arabe et de ses peuples et que soient garanties la concorde, la paix et l’entente entre nos pays et entre ceux-ci et le reste des pays du monde".


La ville d'Oujda a été ainsi au cœur du conflit, déchirée entre l'oppression et le diktat des colonisateurs et la résistance des nationalistes assoiffés de liberté à leur tête, le Père de la Nation, Feu S.M Mohammed V et son compagnon de lutte Feu S.M Hassan II.
En effet, la population d'Oujda a défié, lors de ce soulèvement, les balles des forces d'occupation. Plusieurs martyrs sont tombés sur le champ d'honneur et la répression sauvage s'est poursuivie par des arrestations dans les rangs des nationalistes.


Cet événement a démontré combien les populations de la capitale de l’Oriental vivaient intensément le climat d’effervescence et de ferveur patriotique qui a embrasé tout le pays, marquant un tournant décisif dans la lutte du peuple marocain contre le colonialisme et reflétant des liens profonds et ancrés entre le Trône alaouite et le peuple et la volonté commune pour parachever l'intégrité territoriale du Maroc.

Source : Libération.ma

Rachid Oulad Chrif du CRI de l’Oriental : « Les MRE peuvent créer leur entreprise en seulement 3 jours »

BMCE Bank a fait escale à Oujda, vendredi soir, dans le cadre de la deuxième édition des Rencontres régionales en faveur des Marocains du monde. Diffusée en direct sur les ondes de MFM radio, l'événement a été l’occasion de présenter les opportunités d’investissement dans la région de l’Oriental. Les détails avec Rachid Oulad Chrif, chargé de mission au sein du Centre régional d’investissement (CRI).

Dans le cadre des séminaires régionaux de l’investissement en faveur des MRE, vous présentez aujourd'hui les opportunités et les atouts de la région de l’Oriental. Quels sont-ils ?
Depuis une dizaine d’années et depuis le discours du roi le 18 mars 2003, qui a donné la feuille de route pour un changement économique radical dans la région, l’Oriental a connu de grands projets structurants, notamment dans le tourisme et les infrastructures industrielles et pas mal d’autres projets niches qui s'inscrivent dans cette dynamique. Je peux vous citer plusieurs grands projets à cet égard, comme la station balnéaire de Saïdia, Marchica à Nador, le parc industriel Technopole d’Oujda, l’Agropole de Berkane et le parc de Selouane. La région connaît une diversité : du balnéaire en passant par les monts des Béni-Snassen et l’oasis le plus proche de l’Europe, celle de Figuig. Nous recensons près de 22 niches touristiques et il faut savoir les valoriser.
Quels sont les secteurs attractifs pour les MRE qui viennent investir dans la région de l’Oriental ?
Les Marocains du monde qui reviennent avec des projets dans la région investissent notamment dans l’industrie, puisque nous avons des infrastructures industrielles comme celle de la Technopole et à côté, où il y a l’IFMEREE (Institut de formation aux métiers des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, ndlr) qui assure un accompagnement en matière de formation aux énergies renouvelables et à l'efficacité énergétique. Les MRE commencent à s’intéresser à tous les secteurs confondus comme les services, les mines et la logistique. Il faut aussi savoir que la région a réalisé un chiffre de 5 milliards de dirhams d’investissement pour le premier semestre de l’année en cours. Des investissements qui créeront, à terme, plus de 6 400 emplois et attireront sans doute d’autres investissements.
Quelles sont les procédures spéciales mises en place afin de faciliter la création d’entreprise pour les MRE ?
En tant que CRI, on accompagne ces MRE dans l’accomplissement des démarches administratives. Nous pouvons créer une entreprise dans un délai record de 3 jours, quelle que soit sa forme juridique, compte tenu du manque de temps des MRE. On peut donner un lot dans les infrastructures industrielles d’accueil en 24 heures. Nous essayons donc d’accélérer les procédures de création d’entreprises pour les Marocains du monde. En termes de procédures, le CRI est synonyme de guichet unique. Nous centralisons toutes les administrations qui sont concernées par l’acte de création, comme les services fiscaux pour l’identification fiscale et les taxes professionnelles et l’OMPIC (Office marocain de la propriété industrielle et commerciale, ndlr) pour les dépôts. Tous ces services extérieurs sont hébergés au sein du CRI. Nous avons également un guichet pour soutenir l’investissement et une banque à projets pour les personnes qui souhaitent investir, mais ne disposent pas de projets prédéfinis.
Et en termes d’avantages ?
Le CRI propose aux membres de la diaspora marocaine de l’information, de l’accompagnement et de l’orientation, notamment vers le fonds MDM Invest. Il faut aussi savoir que les projets d’investissement dans la région bénéficient de plusieurs avantages, comme les exonérations de la TVA sur l’import et l’export, des aides et des contributions à la formation pour les projets d’investissement supérieurs à 100 millions de dirhams ou qui créeront plus de 250 emplois. Les critères dépendent du volume d’investissement, mais même les projets d’un million de dirhams d’investissement bénéficient d’exonération et d’avantages adaptés.

Source : Yabiladi
 

NOS MRE ONT DU TALENT

La mobilisation des compétences des Marocains résidents à l'étranger est une nouvelle politique volontariste du ministère d'Anis Birou. Partant du principe que le Maroc figure parmi les trois premiers pays au monde ayant un taux élevé de compétences à l'étranger, il est devenu nécessaire de les accompagner et de s'en inspirer. Trois objectifs stratégiques ressortent dans cette configuration. Il s'agit en effet de préserver l'identité des Marocains de l'étranger, de défendre leurs droits et intérêts et, enfin, de leur permettre de participer au développement de leur pays. Il y a aujourd'hui une réelle volonté politique de faire jouer la diplomatie économique en s'appuyant sur les compétences de la diaspora. Zoom sur des Marocains ayant réussi dans leur pays d'accueil, qui ont su garder des liens forts avec le Maroc et y investir avec brio.

Nadine Hanafi, Fondatrice de la société de design primée «We are visual» et auteure du livre «Slide Therapy» (États-Unis)
Nadine Hanafi a fait parler d’elle grâce à sa société «We are visual» qui permet à ses clients de transformer leurs présentations et de les rendre plus dynamiques et plus vives. Son entreprise a aidé des centaines de clients à atteindre des niveaux d’excellence en matière de clarté, d’esthétique et de style, y compris des auteurs de best-sellers, des conférenciers TEDx , des startups et autres entreprises. Native d’Agadir, Hanafi figurait en 2014 comme meilleure entrepreneuse dans la catégorie des jeunes de moins de 35 ans (classement Empact) et a reçu un prix au siège des Nations-Unies. Elle a récemment été nommée parmi les 100 personnalités de moins de 40 ans les plus influentes dans le monde arabe. En l'espace de deux ans seulement, Nadine a su se faire une place parmi les experts les plus demandés dans le domaine du design de présentations. Avec la sortie de son nouveau livre «Slide Therapy», elle met son expertise au profit des lecteurs et utilisateurs souhaitant affiner davantage leurs présentations. 

Yasmine Bekkari, Co-dirigeante de la filiale Afrique du Nord et Afrique subsaharienne d'AMS (Émirats arabes unis)
Résidant aux Émirats arabes unis depuis quelques mois, Yasmine Bekkari partage son temps entre Dubaï et Casablanca et co-dirige la filiale Afrique du Nord et Afrique subsaharienne d'Aswaq Management and Services (AMS), société d'asset management immobilier. Diplômée de la grande école Audencia de Nantes et titulaire d’un MBA de l’INSEAD, Bekkari est une professionnelle de la gestion d’actifs immobiliers et du management depuis près de 15 ans et a participé à la création et à la gestion d'entreprises en France, au Luxembourg et au Maroc. La jeune Marocaine a démarré sa carrière en France en 2003 au sein d’Ernst & Young Real Estate avant de rejoindre l’équipe de gestion des fonds immobiliers de Morgan Stanley puis de la foncière Carrefour Property. En 2011, elle se lance dans l’entrepreneuriat entre le Maroc et le Luxembourg et crée plusieurs startups dont LTCO, une plateforme d'offshoring maroco-luxembourgeoise, ainsi qu'YB Advisory et Magnolia Invest, sociétés de conseil dédiées au secteur de l’immobilier pour l’investissement, la gestion d’actif et la corporate finance. En 2015, elle s'installe aux Émirats arabes unis et prend la tête du développement international des activités d'AMS dans la zone Afrique du Nord et Afrique subsaharienne.  

Abdelaziz Yasri, Président et directeur scientifique d'OriBase Pharma (France)
Son expérience à l’étranger a débuté en France (Nancy) où il a été amené à effectuer la dernière année de deuxième cycle en physiologie. La réussite de cette première année d’études en France lui ouvert les portes du troisième cycle quand il a intégré l’université Louis Pasteur de Strasbourg pour le diplôme d’étude approfondie (DEA) en neurophysiologie qu’il a obtenu en 1991 au Centre de neurochimie de Strasbourg. Le docteur Yasri a choisi de ne pas commencer ses études doctorales dans le domaine de la neurophysiologie mais de refaire un autre DEA en sciences du médicament, sciences qu’il a toujours souhaité maîtriser depuis l'obtention de son baccalauréat. Ce deuxième diplôme de DEA lui a permis d’entamer ses études doctorales à la faculté de médecine de Montpellier en biophysique et sciences ces médicaments, doctorat qu’il obtenu en 1996. En 2007, le docteur Yasri a fondé et a présidé la société Nova Decision qu’il a ensuite fusionnée avec la société Azasynth à Montpellier. Cette fusion a donné naissance en 2010 à la société OriBase Pharma dont il est le président et directeur scientifique. Il est aussi le fondateur de la société NacymCare Pharma de Mohammedia, société spécialisée dans la recherche et développement en cosmétologie. 

Nassira Boudhan, Chef d'entreprise (Pays-Bas)
Nassira Boudhan est une entrepreneuse marocaine résidant aux Pays-Bas qui s’est intéressée aux filles et femmes non scolarisées à travers son projet «Fashion for education» qui a pour objectif d’inciter les industriels du textile à allouer une partie de leurs bénéfices à l'éducation des femmes qui œuvrent au sein de leurs usines. Aujourd'hui, elle travaille avec des femmes dans différentes villes du Maroc, mais aussi au Bangladesh. Elle réalise plusieurs produits de maroquinerie (cartables en cuir, sacs à main, pochettes pour ordinateurs portables) mais également des t-shirts, des écharpes et des «caftans de plage» exportés aux Émirats arabes unis, en Europe et aux États-Unis. D’autre part, Nassira Boudhan est associée dans une agence de conseil basée à Dubaï qui aide les porteurs de projet à créer leur entreprise dans la région du Golfe. Elle intervient régulièrement sur des thématiques liées à l'entrepreneuriat féminin dans le monde entier.    

Mohamed El Karz, PDG d’Argand'Or GmbH (Allemagne)
Mohamed El Karz est né à Marrakech en 1968. Après avoir obtenu sa licence en physique-chimie de l’Université Cadi Ayyad en 1991, il rejoint l’Université de Mayence (Allemagne) en 1992 et obtient en 1996 un DEUG puis un diplôme d’ingénieur en génie civil et technologie d’eau et environnement en 2000. Par la suite, El Karz a occupé plusieurs postes tels que responsable commercial pour les pays francophones auprès de la société Roediger Haus und Vakuumtechnik GmbH (technologie d'assainissement liquide), directeur commercial pour l'Afrique du Nord auprès du Groupe P&T Technology AG à Hambourg (énergie renouvelable et dessalement d'eau de mer) et gérant du bureau d'étude Energy Water Consult à Wiesbaden, avant de s’orienter vers l’entrepreneuriat. Depuis 2005, Mohamed El Karz est gérant des sociétés Argand'Or GmbH et Servetrade GbR en Allemagne. Il est également, depuis 2013, PDG d’Argand'Or Maroc Groupe SA à Agadir et d’Argand'Or International, leader mondial en matière de production artisanale d’huile d’argan.  

Ahmed Yanouri, Businessman (États-Unis)
Ahmed Yanouri est un businessman dans l'hôtellerie et la restauration. Il possède plusieurs établissements hôteliers sous l'enseigne «Hampton by Hilton» au Texas et un restaurant marocain reconnu par le Dallas Observer comme le meilleur restaurant du Moyen-Orient dans la région de Dallas en 2006 et 2007. Il prépare actuellement un projet ambitieux en agro-industrie à Berkane. En 2009, il a remporté le prix international DFW «African Businessman of the year» pour le North Texas. Il est également devenu membre du Conseil d'administration de DFW «World Affairs Council». Il a joué un rôle important en «amenant» le «Village marocain» à Addison pour le «WorldFest», le très réputé festival international des cultures dans ses éditions 2010 et 2011. En mars 2014, Yanouri a joué un rôle primordial dans le lancement d'un programme de jumelage de lycées marocains et de lycées du North Texas. 

 

Redouane Katouf, Fondateur et PDG de Lightbridge Inc. (Japon)
Redouane Katouf est né et a grandi à Casablanca. Son cursus international a commencé à l'Université Laval (Canada) où il a rejoint un programme de recherche en optique et champs laser. Ce programme lui a permis d'être invité par l'Université de Tsukuba, une des plus prestigieuses universités du Japon, pour intégrer son programme de recherches avancées. Katouf rejoint ce programme dans le cadre d’une bourse du gouvernement japonais pour obtenir plus tard un doctorat en génie électrique de l'université de Tsukuba en 2006. Katouf a commencé sa carrière professionnelle à partir de 2006 en tant que chercheur expert à l'Institut national de l'information et des communications (NTIC), un institut gouvernemental japonais chargé de promouvoir la recherche et le développement du Japon dans les domaines de l'information et des communications (TIC). En 2009, après trois années d'expérience riche en NTIC, il devient professeur à l'Université nationale de Yokohama, puis à l'Université d'électro-communications à Tokyo.  

 

Ghany Belmaachi, Artiste (France)
Ghany Belmaachi est titulaire d'un doctorat en esthétique, science et technologie des arts de l'Université de Paris VIII (1992). Les 48 dernières années, Ghany a exploré quatre thèmes principaux après la période centrale de 1966-1971, durant laquelle sont découverts Klee, Kandinsky puis Nicolas de Staël. L'artiste a eu une période abstraite, surréaliste également. Au Maroc, puis à Paris a été réalisée la série des fenêtres encastrées traitées de manière plus ou moins abstraite. Elle durera de 1971 à 1976, avec des échos en 2011. Elle a été contemporaine de deux autres séries, l'une sur des signes graphiques d’inspiration calligraphique (chinoise et japonaise) qui commence en 1971 et la série dite «de l’homme bandé» qui a duré entre 1976 et 1979, autre passage important qui lui confère une visibilité à l'international. Belmaachi vit alors essentiellement en France dans l’entourage d’Arman, de César, d’André Verdet et surtout du critique Pierre Restany.

Source : Leseco

L’ONDA lance une appli pour les voyageurs

Bonne nouvelle pour les usagers des aéroports marocains. L’Office national des aéroports (ONDA) a lancé une application mobile, «Maroc Aéroports». Son objectif, répondre aux besoins d’informations des clients. 

«Maroc Aéroports offre aux passagers et aux personnes qui les accompagnent ou les attendent un service d’information en temps réel», précise l’Office. Adaptée aux nouveaux usages de consommation de l’information, Maroc Aéroports a été conçue comme un assistant personnel qui accompagne le voyageur tout au long de son parcours, avant, pendant et après son passage à l’aéroport, fait valoir l’ONDA. L’application est disponible sur Android et iPhone en français et en anglais. «Maroc Aéroports permet de profiter de fonctionnalités utiles, pratiques et innovantes.

Elle offre la possibilité de consulter rapidement les horaires des vols en temps réel au départ comme à l’arrivée avec la possibilité de suivre l’état d’un vol, obtenir toutes les informations sur les modes d’accès à l’aéroport (bus, taxi, train, location de voiture), simuler le coût du parking et consulter les plans des aéroports pour mieux s’y orienter», détaille l’Office. L’application est aujourd’hui déployée au niveau des aéroports de Casablanca, Marrakech, Agadir, Rabat, Oujda et Nador. L’expérience sera ensuite étendue à l’ensemble des aéroports du Royaume. «Le lancement de cette application constitue une étape de plus, dans la nouvelle stratégie de communication numérique globale de l’ONDA, qui succède à la refonte du site internet et au déploiement de sa version mobile visible sur tous les supports (smartphones, tablettes). Sans oublier la mise en place du WiFi haut débit et gratuit dans les aéroports de Casablanca, Marrakech, Fès, Rabat, Agadir, Tanger et Oujda», indique l’établissement public. 

Source : Le Matin

Oujda: Remise de 51 véhicules et 10 motocycles à la police

Le conseil de la région de l'Oriental a remis lundi 51 véhicules et 10 motocycles à la police d'Oujda dans le cadre de la mise en application d'une convention cadre relative à l'acquisition de moyens logistiques au profit de la préfecture de sûreté de la capitale de l'Oriental.

Le conseil régional avait en mars dernier procédé au financement de l'acquisition de 14 motocycles dans ce cadre, rappelle le conseil dans un communiqué, précisant que cette initiative se veut une contribution du conseil au renforcement du parc automobile de la police et par conséquent la sécurité générale pour lutter contre le crime et la préservation de la sécurité des citoyens et de leurs biens.

Intervenant à cette occasion, le président de la région de l'Oriental Abdenbi Bioui a indiqué que cette action revêt une importance particulière surtout qu'elle intervient en application de la régionalisation avancée, ajoutant qu'elle profitera à l'ensemble des provinces de la région.

De son côté, le wali de la région de l'Oriental, gouverneur de la préfecture d'Oujda-Angad, Mohamed Mhidia, a relevé que cette initiative s'inscrit dans le cadre de la mise en application de la convention-cadre approuvée auparavant par le conseil de la région visant notamment l'acquisition de moyens de transport en faveur des services de sûreté.

Source : MEDIAS24

Festival de cinéma de Saidia : «A mile in my shoes» décroche le Grand prix de «la perle bleue»

Le film «A mile in my shoes» de Saïd Khallaf a été sacré à la clôture de la 2e édition du festival de cinéma de Saidia au Maroc, en décrochant le Grand prix de «la perle bleue», qui récompense le meilleur film dans la catégorie long-métrage.

Le prix du meilleur réalisateur, quant à lui, était décerné à Mohammed Ismail pour son film «Ihbat» (Des…espoirs), alors que celui du meilleur scénario a été remporté par le long-métrage «Raja Bent El Mellah» d'Abdelilah El Jaouhri.

Le prix du meilleur acteur est revenu à l’acteur marocain, Amine Ennaji, pour son rôle dans le long-métrage «A mile in my shoes», tandis qu'Amal Ayouch s'est vue attribuer le Prix de la meilleure actrice pour son rôle dans «L'Orchestre de minuit» du réalisateur Jérôme Cohen-Olivar.

La liste des longs métrages qui étaient en lice dans le cadre de la compétition officielle de cette édition, organisée sous le thème : «Tous pour une créativité marocaine et un spectacle cinématographique dans la perle bleue», comprend «Fida» de Driss Chouika, «L'Orchestre de minuit» de Jérôme Cohen-Olivar, «Larmes de Satan» de Hicham El Jebbari, «A mile in my shoes» de Said Khallaf, «Raja Bent El Mellah» d'Abdelilah El Jaouhri et «Ihbat» (Des-espoirs) de Mohamed Ismail.

Dans la catégorie des courts-métrages, le prix de «l'Orange» pour le court-métrage a été décerné au film «la main gauche» de Fadil Chouika, celui du meilleur réalisateur est revenu à Ghizlane Assif pour son film «Murmures de Vénus», alors que le prix du meilleur Scénario a été attribué au film «Nidae Trang» de Hicham Regragui. Le prix du meilleur acteur a été remporté par Mohammed Khouyi pour son rôle dans le film «la main gauche», tandis que celui de la meilleure actrice est revenu à Sara Regragui pour son rôle dans le film»Les mouchoirs blancs» de Farid Regragui, qui a également reçu les éloges du jury du Festival. Dans cette catégorie, 7 courts métrage étaient en lice, à savoir «De l'eau et du sang» d'Abdelilah El Jaouhari, «Tikchbila Tiwliwla» de Youssef Laalioui, «Nidae Trang» de Hicham Regragui, «Les mouchoirs blancs» de Farid Regragui, «Le quai du destin» d'Amina Saadi, «Murmures de Vénus» de Ghizlane Assif et «la main gauche» de Fadil Chouika.

Cette manifestation artistique, initiée par l'Association Al Amal pour la coexistence et le développement, du 03 au 06 août, avait pour but de favoriser la culture cinématographique dans la région de l'Oriental, en particulier à Saïdia et à Berkane, servir de trait d'union entre les Marocains d'ici et d'ailleurs et à investir le cinéma comme un outil de communication efficace dans la promotion des valeurs de tolérance et de coexistence entre les peuples.

Organisé avec le soutien notamment du Centre cinématographique marocain (CCM), du Conseil régional, de la Société de développement Saïdia (SDS), du Conseil provincial de Berkane, du Conseil provincial du tourisme, et des deux conseils municipaux de Saïdia et Berkane, cet événement culturel et artistique a compris dans sa programmation des conférences et des rencontres autour des questions culturelles et sociales diverses.

Source : Le Matin

Youssef Zaki: «Notre objectif est de faire sortir Saïdia de sa saisonnalité»

Quel bilan faites-vous de l’activité touristique de l’Oriental ? 

Youssef Zaki : L’activité touristique dans la région de l’Oriental est sur la bonne voie et ce, depuis l’ouverture de la station balnéaire de Saïdia en juillet 2009. La Région se caractérise par la diversité de son offre touristique, l’accueil chaleureux de sa population et sa proximité du marché européen. Quant aux statistiques, elles sont stables à croissantes malgré le mois de Ramadan, qui tombe encore une fois en pleine saison estivale. Mais avec l’ouverture de nouvelles structures d’hébergements à Saïdia en 2017, les indicateurs seront certainement croissants.

Comment se porte la station Saïdia ? Et quel rôle joue la Société de développement de Saïdia (SDS) dans cette dynamique touristique ?

La station de Saïdia se porte bien et prend de plus en plus de notoriété grâce aux efforts de promotion faits par l’ONMT et le CPT de Berkane et grâce aux MRE de la Région de l’Oriental. La SDS, filière de la CDG, est venue au bon moment. Après Fadesa et Addoha, SDS œuvre, aujourd’hui, à pallier tous les dysfonctionnements de démarrage de la station et terminer les aménagements prévus dans la station. Aujourd’hui, nous disposons d’une station balnéaire aux normes internationales avec, en plus, l’une des plus grandes Marinas méditerranéennes. De même, la station se voit décerner annuellement et ce depuis 2009 le label «Pavillon Bleu». La SDS a participé pleinement à cette dynamique avec la requalification de plusieurs parcelles du projet.

Vous chapeautez une équipe fraîchement constituée. Comment se décline la feuille de route du CRT pour dynamiser le tourisme dans la région ?

La nouvelle équipe du Conseil régional du tourisme (CRT) est organisée en pôles et en commissions. Elle est présente à la fois à Oujda, à Saïdia et à Nador. Nous avons une feuille de route claire avec des professionnels expérimentés. Nous sommes conscients que nous construisons une nouvelle destination. Nous avons une approche participative axée sur la concertation avec toutes les parties prenantes. Nous sommes très encouragés et soutenus par le wali de la Région de l’Oriental et le président du Conseil de la Région de l’Oriental et le directeur général de l’Agence de l’Oriental.

Quels sont les principaux défis à relever pour les professionnels de la région ?

Les défis du CRT et des professionnels sont multiples. Nous avons pour objectif ultime d’assurer la pérennité et la durabilité de la station balnéaire de Saïdia et de la faire sortir de sa saisonnalité en diversifiant l’offre touristique. Nous travaillons également avec l’Agence Marchica Med pour démarrer très bientôt les activités touristiques autour de la Lagune de Nador et renforcer l’offre touristique régionale.

Quelles sont les autres actions à mener ?

Nous travaillons avec nos partenaires institutionnels, en l’occurrence le Conseil de la Région, l’Agence de l’Oriental et les autorités locales, pour développer le tourisme sportif. Notre objectif est de réaliser un complexe sportif de haut niveau pour la concentration des grandes équipes nationales et internationales. Nous ambitionnons également d’organiser des événements à haute valeur ajoutée sur notre secteur et faire booster la station avant et après la saison estivale.

Comment comptez-vous rendre cette destination opérationnelle sur toute l’année ?

Nous comptons développer dans ce sens le tourisme d’affaires en mettant en place un palais des congrès et des salles de conférences pouvant abriter des séminaires, des colloques et autres événements. Avec 13 sites d’Intérêt biologique et écologique (aires protégées), la région vise également à enrichir sa gamme touristique par une offre «écotourisme». Ainsi, nous œuvrons à développer le tourisme oasien à Figuig et dans les hauts plateaux avec le fameux train du désert.

Que reste-t-il à faire pour positionner l’Oriental et sa station en tant que destination compétitive à l’échelle nationale et peut-être même à l’international ?

Le Conseil provincial du tourisme (CPT) de Berkane et le nouveau CRT de l’Oriental disposent d’une stratégie de promotion et de marketing touristique de notre belle région. La marque de notre région repose sur la diversité des potentialités existantes dans la région. En plus du balnéaire, on peut énumérer le tourisme culturel à Oujda, le tourisme cultuel soufi a Madagh (province de Berkane), le tourisme culturel juif à Debdou (province de Taourirt) et le tourisme oasien à Figuig, la chasse touristique à Jerada, à Guercif et dans les monts des Beni Snassen ainsi que le spéléotourisme dans la Grotte du chameau. Il faut dire que le CRT et la Région encouragent les investissements touristiques dans les 8 provinces de l’Oriental et surtout nos MRE qui sont porteurs de plusieurs projets touristiques.

Quelle est votre stratégie pour drainer les investisseurs potentiels et promouvoir la destination ?

Vous savez, Internet est un outil incontournable aussi bien pour les touristes que pour les investisseurs. Pour mieux communiquer, nous utilisons dans un premier temps les pages facebook. Nous sommes également en train de mettre en place notre site web. Nous travaillons pour la mise en place de kiosques d’information touristique dans toutes les villes touristiques de la région avec du matériel publi-promotionnel que nous avons réalisé. Nous avons également un projet d’encadrement et de formation des guides, la création d’une banque de données des différents sites. Nous réfléchissons également avec nos partenaires pour cadrer les événements phares attractifs pour notre tourisme régional.

Source: Aujourd'hui le Maroc

Othman Laraki, l’informaticien marocain qui veut révolutionner la détection du cancer

Il fait partie des trente personnalités décorées par roi Mohammed VI le 30 juillet à l’occasion de la fête du Trône. À 38 ans, Othman Laraki, ancien vice-président de Twitter, ayant participé à la fondation de plusieurs entreprises de technologie dans la Silicon Valley, est à la tête de la société Color Genomics, spécialisée dans le diagnostic précoce du cancer. « C’est un très grand honneur pour moi d’être reconnu dans mon pays et de recevoir cette décoration des mains de Sa Majesté le roi Mohammed VI. J’espère en être digne. C’est une opportunité pour moi de faire bénéficier au Maroc du travail que je suis en train de faire maintenant, qui peut avoir un impact important sur la santé public et qui peut sauver des vies » nous explique t-il.

Ce natif de Casablanca n’a pas attendu cette consécration pour revenir à la mère-patrie. « Je reste extrêmement lié au Maroc . Je rentre deux ou trois fois par an. Quand je suis aux États-Unis, l’une des plus grandes joies pour moi c’est d’être un des représentants de mon pays dans la Silicon Valley. Et c’est toujours bien de voir leur réaction quand je me présente en tant que Marocain ».

Lors de ses séjours au royaume il a « toujours été impressionné par le niveau technologique des Marocains » mais aussi « heureux de pouvoir aider de jeunes entrepreneurs marocains qui essaient de créer quelque chose nouveau ». Il a conseillé quelques sociétés marocaines ou fondées par des Marocains « un peu à l’informel ». « Il y a, par exemple, une qui s’appelle Spot Angel installée dans la Silicon Valley, un groupe qui travaille avec une partie de son équipe au Maroc et l’autre aux États-Unis » nous explique-t-il.

Son parcours a commencé lorsque, à 18 ans, il décide d’aller poursuivre ses études à l’Université de Stanford après son bac obtenu à Casablanca. Il y décroche un bachelor et un master en informatique.  En 1999, alors qu’il était encore sur les bancs de cette prestigieuse université située au cœur de la Sillicon Valley , un environnement dans lequel « il y a beaucoup d’opportunités dans le domaine des technologies de pointe » le jeune marocain fonde et dirige sa première entreprise jusqu’en 2001. « J’ai créé une société spécialisée dans l’analyse des données pour les sociétés de communication. Elle a été rachetée par une société japonaise avec laquelle j’ai ensuite travaillé en gérant une équipe d’informaticiens » ajoute le jeune entrepreneur.

Un ancien collègue du PDG de Google

Fort de cette première expérience d’entrepreneur, le jeune marocain va tout de même abandonner l’informatique pour poursuivre des études dans le domaine de la finance. Il intègre le très prestigieuse Massachussetts Institute of Technology (MIT) où il obtient un MBA en Financial Engineering. « J’étais curieux d’aller passer un peu de temps au MIT et je trouvais aussi que le domaine de l’ingénierie financière était très intéressant ».

Mais, très vite, il va revenir à son premier amour, l’informatique. En septembre 2004 il retourne à la Silicon Valley où il travaillera pour Google au poste de Product Manager. « Le temps que j’avais passé l’Université de Stanford, m’avait permis de connaître le fondateur de Google et une grande partie des toutes premières personnes qui y ont travaillé. Ils m’ont convaincu de revenir les rejoindre ici » se rappelle t-il amusé.

Chez le géant américain, il est « l’une des premières personnes à démarrer le projet Chrome », l’outil de navigation utilisée aujourd’hui par des millions d’internautes mais aussi d’autres technologies pour rendre Internet et le Web plus rapide. « C’est l’une des meilleures décisions que j’aie prises. Elle m’a permis de faire partie de Google à une époque où il y avait des technologies intéressantes et des opportunités pour créer des outils qui ont eu d’importants impacts dans l’industrie informatique »nous confie Laraki.

Il va également côtoyer pendant cette année de sa vie plusieurs grandes personnalités connues dans le monde informatique, notamment Sundar Pichai, l’actuel PDG de Google qu’il a eu comme collègue pendant plusieurs années mais aussi Marissa Mayer, l’actuel PDG de Yahoo pour qui il a travaillé.

Ex vice-président de Twitter et fondateur de Color Genomics

Après quatre ans de bons et loyaux services, le jeune entrepreneur alors tout juste âgé de 30 ans fonde avec un de ses collègues une société de géolocalisation, Mister Lab. « L’un de nos premiers clients était Twitter qui a commencé à utiliser notre technologie et a fini par acheter notre société ». Il rejoint donc l’entreprise américaine dont il intègre le top management en décembre 2009, occupant le poste de vice-président Product Management.

Il passe un peu plus de trois ans dans la firme installée à San Francisco avant de se lancer en début 2013 dans une nouvelle expérience : Color Genomics, une société spécialisée dans le diagnostic précoce des cancers du sein et de l’ovaire sur la base de mutations génétiques qui augmentent le risque de cette maladie. « On est au tout début d’une intégration entre le monde informatique et le monde de la médecine » avise le jeune entrepreneur. Le projet, qui n’est donc qu’à ses débuts, permettra de réduire sensiblement les coûts et de rendre accessible des tests de cancer pour une grande majorité de la population mondiale. « Pour faire ce genre de tests, il fallait débourser l’équivalent de 40 000 dirhams aux États unis et un peu plus à l’international.  Au Maroc, ça devait probablement coûter 60 000 dirhams pour faire un test comme ça. Maintenant, ça coûte 2 500 dirhams (249 dollars) avec Color Genomics » nous dévoile Laraki.

Convaincus que ce projet va démocratiser les tests génétiques contre le cancer, plusieurs personnalités de renom, à l’instar de Laurene Powell Jobs, la veuve de Steve Jobs, Katie Stanton, la vice-présidente Global Media de Twitter ou encore Jerry Yang,co- fondateur de Yahoo, sont dans le tour de table de Color Genomics. Le financement est estimé à 15 millions de dollars.

Source: Telquel

Un fonds de trois milliards de dirhams destiné aux femmes entrepreneuses

FEMMES – Trois milliards de dirhams. C’est le montant de l’enveloppe que la Banque africaine de développement (BAD) compte accorder aux femmes entrepreneuses. 

L’annonce a été faite lors d’une séance de travail entre le président de la banque panafricaine, Akinwumi Ayodeji Adesina, et la patronne des patrons, Meriem Bensalah-Chaqroun, indique la CGEM dans un communiqué. Ce fonds sera spécifique aux femmes et vise à soutenir l’entreprenariat féminin, précise le communiqué.

Lors de la séance de travail, le président de l’institution bancaire africaine a mis l’accent sur les nouveaux instruments financiers de la BAD destinés au secteur privé. Le Nigérian a également insisté sur le rôle Maroc dans les investissements et la croissance en Afrique.

La présidente de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc (CGEM), Meriem Bensalah-Chaqroun, a quant à elle mis en avant l’implication des entreprises marocaines dans la réalisation de chantiers économiques et sociaux dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et centrale. Elle a précisé que ces entreprises s’inscrivent dans une démarche de création de valeur ajoutée et d’emplois.

Le président de la BAD effectuait du 19 au 23 une visite au Maroc, qui s'inscrit dans le cadre de la tenue de l’assemblée générale du Fonds "Africa 50", dédié aux infrastructures et porté par la BAD. Ce fonds basé à Casablanca, dans le hub financier africain Casablanca Finance City (CFC), veut mobiliser à terme 100 milliards de dollars pour l'infrastructure en Afrique.

Source: Huffpost