Jerada : L’emplacement de la future station solaire se précise

Jerada : L’emplacement de la future station solaire se précise

L’agence marocaine pour l’énergie durable (Masen) s’apprête à sécuriser l’assiette foncière destinée à la future station solaire à Jerada.La

procédure d’expropriation pour cause d’utilité publique, de deux lots de terrain, d’une superficie totale de 600 hectares, destinés à accueillir la future station balnéaire de Jerada, vient d’être enclenchée.

Signé par le ministre de l’Energie et des Mines, Aziz Rabbah, le décret autorisant l’agence Masen à entamer les démarches requises pour libérer l’assiette foncière vient d’être publié au Bulletin officiel.

La station solaire de Jerada fait partie intégrante du projet Noor PV II. D’une capacité globale de plus de 800 MW, le projet Noor PV II prévoit de couvrir plusieurs provinces: Layaoune, Boujdour, Taroudant, Kelaa des Sraghna, Khouribga, Lhajeb, Guercif, Sidi Bennour et Jerada.

 

Le Pr Mohammed Amarti élu membre du Comité des Nations Unies des Droits économiques, sociaux et culturels

Lors des élections tenues lundi à New York, le candidat du Royaume du Maroc, le Professeur Mohammed Amarti a été élu en tant qu’expert indépendant membre du Comité des Droits Economiques Sociaux et Culturel en remportant 37 voix sur les 54 votantes. Trois candidats étaient en lice pour les deux sièges vacants réservés à l’Afrique, à savoir le Maroc, l’Egypte et l’Afrique du Sud.

A côté du Pr. Amarti, le 2ème siège africain revient à l’Egypte, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, précisant que le Professeur Amarti siègera pour un mandat de quatre ans qui débutera le 1er janvier 2021.

Président de la Commission régionale des Droits de l’Homme d’Oujda-Figuig et Professeur universitaire et chercheur dans en Droit international, Mohammed Amarti est un expert des Droits de l’Homme et du droit humanitaire, domaines dans lesquels il s’active depuis de nombreuses années, fait savoir le communiqué. Il note que cette énième brillante élection d’un expert marocain représente une nouvelle marque de confiance de la communauté internationale envers le Royaume et envers les compétences et l’expertise marocaines.

Elle témoigne également de l’image positive et de la crédibilité dont jouit le Maroc sur la scène internationale, fruits de la stratégie globale et multidimensionnelle mise en place sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu l’Assiste, en faveur des droits de l’Homme dans leur intégralité et en faveur de la confortation de la nouvelle génération des droits, à savoir les droits économiques, sociaux et culturels et également environnementaux.

Une forte campagne diplomatique de promotion a permis un aboutissement brillant de cette candidature consacrant ainsi la stratégie du Royaume visant la consolidation de la présence marocaine au sein des organisations internationales et des organes des Nations Unies, se réjouit le ministère. A travers cette élection, un expert du Maroc siègera pour la première fois au comité onusien des droits économiques et sociaux et culturels, un organe composé de 18 experts qui ont des compétences reconnues dans le domaine des Droits de l’homme. Créé en 1985, le Comité a pour mission d’assurer la supervision de l’application du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels par les États parties, ainsi que l’examen des rapports périodiques présentés par les Etats sur la mise en œuvre des droits consacrés par le Pacte.
 

Source : Hespress

Oujda-Angad / INDH : Projets à fort impact socio-économique

Le Comité provincial de développement humain d’Oujda-Angad a approuvé une série de projets de développement socio-économique, profitant notamment aux jeunes et aux petites entreprises.

Les projets approuvés par le Comité au titre de 2020 couvrent les différents programmes de la 3ème phase de l’INDH, à savoir le rattrapage des déficits en infrastructures sociales de base, l’accompagnement des personnes en situation de précarité, l’amélioration du revenu et l’inclusion économique des jeunes, et l’impulsion du capital humain des générations montantes.

La réunion, présidée par le wali de la région de l’Oriental, Mouad El Jamai, a été marquée par la présentation de l’état d’avancement des projets de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) programmés au titre de 2019, et du plan d’action relatif à la gestion de la plate-forme des jeunes de la préfecture d’Oujda-Angad.

Pour le premier programme, la responsable de la Division de l’action sociale (DAS), Hafida El Handouz a expliqué que les projets adoptés sont au nombre de trois et portent sur l’acquisition de deux bus de transport scolaire au profit des communes de Bni Khaled et Ahl Angad (640.000 DH), l’achat d’une unité médicale mobile (450.000 DH), et la création d’un pôle sportif à Oujda (6.624.664 DH).

S’agissant de l’accompagnement des personnes en situation de précarité, le comité a approuvé trois projets visant le soutien de la gestion des établissements sociaux (500.000 DH), l’achèvement d’un centre pour femmes en situation difficile (180.000 DH), ainsi que la construction et l’équipement d’un centre d’accueil des personnes en situation de vulnérabilité (2ème partie / 4.375.080 DH).

Quant aux projets s’inscrivant dans le sillage du troisième programme, ils ont pour objectifs le soutien des jeunes à la création de petites et très petites entreprises (2.500.000 DH), l’appui à l’emploi et le renforcement des capacités au profit des jeunes (1.520.000 DH), l’organisation d’une compétition d’idées de projets (671.800DH), en sus du soutien aux activités génératrices de revenus sur la base des résultats de l’étude des filières.

Le coût de ce dernier projet s’élève à 2.674.852 DH dont un apport de l’INDH de l’ordre de 1.872.427 DH et une contribution des porteurs de projets de 802.425 DH.

Par ailleurs, les projets approuvés dans le cadre du quatrième programme relatif à l’impulsion du capital humain des générations montantes au titre de 2020 sont répartis entre le premier axe du programme « développement de l’enfance précoce » avec un financement prévu de 849.000 DH, le second axe « appui au préscolaire en milieu rural » avec 2.075.000 DH, et le troisième axe « encouragement de la scolarité et lutte contre la déperdition scolaire » avec 4.385.435 DH.

La réunion a connu une présentation détaillée de la plate-forme dédiée aux jeunes de la préfecture d’Oujda-Angad et qui ambitionne la promotion des opportunités d’emploi et l’intégration de 800 jeunes par an, ainsi que la création de 25 projets par an avec la contribution à leur durabilité.

 

Source : L'Opinion

Oujda: Contrôle rigoureux des établissements scolaires

La hausse du nombre de cas de contamination au Covid-19 dans l’Oriental, avec un record mardi (8 septembre 2020) de 77 cas dont 40 à Oujda pousse le département de l’Education nationale à renforcer sa vigilance et à multiplier les visites inopinées aux établissements scolaires.

Fresques murales explicatives et signalisation de parcours facilitent la tâche aux corps pédagogique et administratif pour sensibiliser leurs élèves aux bénéfices de la distanciation (Ph. A.K)

En trois jours, 47 établissements, tous niveaux confondus, ont été contrôlés au niveau de la ville d’Oujda. Trois commissions provinciales et tous les inspecteurs pédagogiques s’enquièrent de la stricte application du protocole sanitaire qui prend en compte la sécurité des élèves, enseignants et cadres administratifs.

Le but est de rappeler que l’application de ce protocole nécessite un certain nombre de mesures concernant la distanciation sociale au sein des établissements scolaires: «Des gestes à appliquer depuis la porte d’entrée avec port obligatoire du masque par les élèves et les enseignants, mise en place de bordures de signalisation, nettoyage, désinfection des différentes structures et dépendances scolaires», rappelle Mohammed Benabid, directeur du Centre de formation Ibn Khaldoune.

De leur côté, les directeurs des établissements détaillent les mesures prises pour réussir cette rentrée scolaire mais également les difficultés constatées. La majorité des établissements ont besoin de plus de moyens financiers et ressources humaines pour appliquer un protocole sanitaire efficient tout au long de l’année: gels hydroalcooliques, savons, masques, espaces sanitaires entretenus, classes désinfectées.

«Des besoins qui nécessitent l’engagement des différents corps d’élus, qui ne se sont pas encore manifestés pour le moment», explique Jamal Hadadi, acteur associatif, qui regrette l’absence des partis politiques des campagnes de sensibilisation et de lutte contre le coronavirus.

La réaction est différente chez les acteurs associatifs présents aux côtés des autorités locales, dans les différentes actions de sensibilisation aux mesures de distanciation sociale. C’est le cas de l’association Marocains du monde qui vient d’adapter des bordures de signalisation spécifiques à l’école périphérique Abdellah Ibrahim.

Le circuit de signalisation débute dès la porte d’entrée et conduit, dans un premier temps, aux robinets équipés de bornes de savon pour le lavage des mains. D’autres flèches, tracées dans les couloirs, mènent aux classes avec réalisation de zones dédiées à chaque niveau. Des fresques murales explicatives facilitent la compréhension des directives imposées pour cette rentrée scolaire.

 

Source : L'Economiste

Berkane: La faculté des spécialités sort de terre

Les travaux vont bon train pour la réalisation d’une faculté spécialisée en agriculture à Berkane. La faculté agroalimentaire et biotechnologique vient de sortir de terre et sera opérationnelle à partir de 2022. C’est ce qui ressort d’une visite de chantier du gouverneur de la province de Berkane, Mohammed Ali Habouha en présence du président de l’Université Mohammed Premier (UMP) d’Oujda Yassine Zarhloule.

La réalisation du projet, dont la capacité d’accueil avoisinera les 4.500 places, nécessite 120 millions de DH dont une contribution de 97 millions de DH de l’UMP et 23 millions de DH du Conseil de la région de l’Oriental. Le Conseil provincial de Berkane a assuré l’assiette foncière et les études préliminaires. Au total une douzaine de filières, les unes à accès ouvert et d’autres à accès régulé, accueilleront les bacheliers de l’Oriental ou Bac + 2 pour des spécialités pointues dans le domaine agricole.

Cette première structure universitaire au niveau de la province de Berkane tombe à point nommé pour accompagner l’effort de développement tout en boostant la recherche et l’innovation. Un élément primordial pour une économie locale basée sur l’agriculture mais confrontée à des difficultés hydriques, de performance et de commercialisation à l’international.

Ce qui nécessite de nouvelles pistes de recherche et de solutions adaptées pour varier l’offre, rationnaliser l’économie en eau, améliorer la qualité des récoltes et des sols tout en luttant contre les différentes formes d’érosion qui menacent plus de 75% des terres agricoles de la région.

Initialement prévue comme annexe à l’Université d’Oujda, la nouvelle faculté sera autonome suite à la nouvelle approche du président de l’UMP, adepte de plus d’autonomie et de proximité des structures universitaires. Il ne fait que répondre à une attente exprimée par les habitants de Berkane qui avancent que leur province, vu son ancrage agroindustriel, a besoin d’une structure dédiée et un établissement autonome pour plus d’efficience. «C’est indispensable pour l’émergence de pôles compétitifs adaptés à leur tissu socioéconomique et aux attentes en matière d’emploi et d’innovation», explique le président de l’UMP.

Berkane n’est pas une exception dans cette nouvelle approche de facultés autonomes. L’annexe universitaire, en phase finale de réalisation à Taourirt sera convertie en faculté autonome spécialisée dans la logistique et le transport international.

Elle devrait ouvrir ses portes au cours de l’actuelle rentrée universitaire (2020 /2021) mais à cause du retard dans l’exécution de certains travaux, la pandémie du Covid-19 et aux nouvelles prérogatives qui nécessitent l’aval du Conseil de l’université pour transformer une annexe universitaire en faculté autonome, elle a retardé son ouverture d’une année.

 

Source : L'Economiste

Revue de presse – L’Oriental et la méditerranée au delà des frontières

Présentation du dernier beau livre "L'Oriental et la méditerranée au delà des frontières" sur le journal Al Ittihad.

Cet ouvrage de 293 pages, réalisé et publié par l’Agence de l’Oriental, est consacré au Maroc, à son ancrage méditerranéen arabe et africain ainsi qu’aux liens qu’il permet de nouer entre l’Orient et l’Occident.

 

Figuig : Une fondation pour promouvoir l’excellence

La Fondation des amis(es) de Figuig (FAF) cible en ce début de l’année scolaire et universitaire les bacheliers ayant obtenu une bonne moyenne pour les accompagner. Elle vient de finaliser un partenariat d’excellence avec l’Université Al Akhawayn d’Ifrane (AUI) pour prendre en charge les frais d’étude sur une durée de neuf semestres pleins.

Ainsi, l’AUI contribue à mesure de 50%, aux frais de scolarité parmi les meilleurs étudiants notamment les démunis proposés par la FAF. Les autres 50% des frais de scolarité et les autres charges financières seront assurés soit par la FAF ou les familles des élèves sélectionnés.

Pour en bénéficier, il suffit d’avoir obtenu son Baccalauréat avec une bonne moyenne et de déposer sa demande au siège de la Fondation des amis de Figuig à Oujda ou l’envoyer par mail à fondationamisfiguig@gmail.com avant le 14 septembre 2020.

                                              Réponse aux besoins de formation

Les parties signataires ont également convenu d’approfondir leur partenariat pour la réalisation de conférences ou d’événements sur des thèmes liés au développement durable et d’accueillir les étudiants de l’AUI en stage ou en mission selon les objectifs, activités et capacités d’encadrement de la FAF.

Al Akhawayn s’engage à accompagner la FAF pour répondre aux besoins de formation de ses collaborateurs dans le cadre des programmes du Pôle Exécutive Éducation (diplômantes ou certifiantes). Ces programmes peuvent être adaptés aux activités ou environnement de la FAF.

De leur côté, les experts et professionnels de la fondation seront mis à disposition d’Al Akhawayn pour contribuer aux formations spécifiques dans le cadre de séminaires spécialisés. Cet engagement de la FAF fait partie d’un large programme d’accompagnement au profit des jeunes de Figuig et de l’Oriental.

La Fondation vient aussi d’initier, en partenariat avec Bank of Africa, une série de rencontres au profit des jeunes de l’Oriental pour les encourager à saisir l’opportunité offerte par les nouveaux modes de financement et comment ficeler un projet en ces temps de pandémie.

Le but est d’instaurer une culture entrepreneuriale, basée sur l’initiative personnelle, chez les jeunes: « Explication, accompagnement et formation sont indispensables pour ancrer la culture de l’initiative privée chez les jeunes qui ont peur d’échouer s’ils se prennent en charge notamment en ces temps de pandémie», explique Mostafa El Maddarsi, président de la FAF.

«Il est temps de booster le moral des jeunes diplômés ou travailleurs dans l’informel en leur expliquant que les meilleures opportunités peuvent être offertes et réussies dans des moments difficiles», précise de son côté Jilali El Hachimy, directeur régional de Bank of Africa.

 

Source : L'Economiste

Pourquoi l’épidémie a resurgi dans l’Oriental

Qualifié free of Covid-19 durant plusieurs mois, l’Oriental recommence à compter ses contaminés.  La région est en train de subir les conséquences d’un fléchissement qui inquiète citoyens, autorités locales et sanitaires.

Plusieurs causes derrière cette propagation qui a débuté avec les vacances de Aïd Al Adha: le relâchement de la population locale qui croyait la région totalement débarrassée du virus, et qui n’a que peu respecté les mesures de distanciation sociale et le port des bavettes.

Un comportement manifeste au niveau des centres urbains, souks, cafés et places publiques. Sur une centaine de personnes qui déambulent  le long de la corniche de Saïdia, pas plus de 3% d’entre elles portent le masque. Cette ville côtière réputée pour la qualité de ses plages a drainé des milliers de touristes nationaux dont la majorité débarquait de villes contaminées (Casablanca, Fès, Tanger, Taza, etc.).

D’ailleurs, les premiers cas positifs détectés étaient ceux des touristes nationaux, originaires d’autres villes, ainsi que des rapatriés d’Espagne et d’Algérie. Au lieu de maintenir la vigilance, les autorités locales ont laissé faire, dans un premier temps, pour des raisons économiques et pour permettre aux populations locales de se soulager après une longue période de confinement.

Pour rectifier le tir, le wali de la région a rappelé tout le monde à l’ordre. Mouaad Jamai a présidé une série de réunions avec les autorités locales et sanitaires, associatifs, artistes,  professionnels et représentants des commerçants pour insister sur le rôle essentiel du citoyen dans la lutte contre la pandémie et de favoriser une prise de conscience collective. Il a aussi rappelé que la loi sera appliquée en cas de non-respect des mesures préventives.

«Cette mise en garde contre les différentes formes de relâchement nécessite une mobilisation citoyenne et solidaire pour stopper l’accroissement des cas positifs», indique à L’Economiste Jamal Haddadi, universitaire engagé dans la sensibilisation contre le coronavirus. Des campagnes de sensibilisation, encadrées par les caïds d’arrondissements avec la participation d’acteurs  associatifs, sont ainsi menées dans les quartiers d’Oujda.

En parallèle, les agents de police ont renforcé les dispositifs de contrôle aux sorties et entrées des villes alors que les éléments de la gendarmerie royale multiplient les barrages inopinés de contrôle pour dissuader conducteurs et voyageurs. De leur côté, les artistes de la ville ont réalisé une dizaine de capsules sensibilisatrices diffusées sur les réseaux sociaux et les antennes de la radio d’Oujda.

 

Source : L'Economiste

Sound Energy réfute un contrôle fiscal de 14 millions de dollars

Coup dur pour l’explorateur gazier Sound Energy. Le groupe basé au Royaume-Uni, opérant dans la région de l’oriental, a été sommé par le Fisc de payer 14 millions de dollars, suite à un contrôle fiscal effectué cette année sur les comptes de Sound Energy Morocco East Limited, filiale à 100% de Sound Energy. Le contrôle a concerné les exercices 2016, 2017 et 2018. Pour l’explorateur gazier, la notification de la d’administration fiscale «a évalué des passifs supplémentaires en matière d’impôts sur les sociétés et de taxe sur la valeur ajoutée totalisant environ 14 millions de dollars en raison des changements de licence.

Selon leur évaluation, les changements de licence détaillés dans la notification concernent le permis de Tendrara Lakbir et le transfert d'intérêts de Sound Energy Morocco SARL à Sound Energy Morocco East Limited», détaille le groupe. Selon ce dernier, l'évaluation découle d'un malentendu relatif aux changements de licence et, avec ses conseillers, s'engagera aux côtés de l'administration fiscale marocaine afin de clarifier ce malentendu et chercher à le résoudre», souligne le groupe.

Sound Energy dispose de 30 jours à compter de la réception de la notification pour répondre et, «bien que la société s'engage de manière constructive avec l'administration fiscale marocaine afin de résoudre le malentendu, elle écrira à l'administration fiscale pour réfuter formellement l'appréciation et son fondement», déclare le groupe.

 

Source : MarocHebdo

Rentrée scolaire 2020/2021 : Berkane opte pour le présentiel (documents)

C'est officiel. Les établissements scolaires de la province de Berkane optent pour l’enseignement présentiel pour la rentrée prévue le 7 septembre, à la demande de la Fédération des parents d’élèves.

Dans une lettre adressée au directeur provincial de l’Education nationale à Berkane datant du 26 août, la Fédération affirme avoir opté pour l’enseignement présentiel à l’ensemble des élèves de la province et demande que toutes les mesures de prévention soient prises pour préserver la santé des élèves et de l’ensemble du corps enseignant.

La Fédération a réitéré sa demande dans un communiqué datant du 27 août. Elle a également exprimé son refus quant à l’obligation des parents de remplir le formulaire dans lequel ils choisissent l’un des deux modes d’enseignements, présentiel ou à distance.

La Fédération demande aussi que les dates des examens de la première année baccalauréat soient dévoilées avant la fin du mois de septembre. Ces examens, rappelons-le, ont été reportés une première fois aux 4 et 5 septembre puis une deuxième fois à une date ultérieure.

 

Source : 2M