Nador : Les vulnérabilités socio-économiques accentuées par la crise sanitaire

Nador : Les vulnérabilités socio-économiques accentuées par la crise sanitaire

Les vulnérabilités socio-économiques à Nador et à Melilla se sont accentuées avec la crise sanitaire de la pandémie du nouveau coronavirus, ainsi que les mesures liées aux déplacements. L’Association marocaine des droits de l’Homme (AMDH) a indiqué que ces situations ont particulièrement mis à mal les travailleuses et travailleurs titulaires de permis de travail à Melilla, en raison de la fermeture des postes frontaliers depuis sept mois et en l’absence d’alternatives.

Dans un communiqué parvenu à Yabiladi, l’ONG fait état d’une recrudescence du chômage au niveau local, ainsi que de la pauvreté et de la précarisation, par le fait que nombre de ménages ont épuisé leurs épargnes, sans trouver d’options pour reprendre une activité économique. Selon l’ONG, les responsables locaux auraient formulé des promesses de projets de développement mais sans effets notables sur les familles concernées.

«Ces promesses ont servi à faire obstacle à toute tentative d’organisation et de coordination entre les groupes affectés pour défendre leurs intérêts, face à des violations flagrantes du droit de manifestation et d’organisation», a fustigé l’association.

«Les autorités continuent d’empêcher beaucoup de marchands ambulants d’exercer leurs activités, en saisissant leurs biens, en arrêtant les uns et en usant de la violence contre d’autres, à travers certains agents d’autorité.»

Rappelant que le commerce constitue l’activité économique centrale de la ville, l’ONG a appelé «de toute urgence» à ouvrir un dialogue pour «trouver des options appropriées et permettre à ces personnes de reprendre leur travail, loin de toute récupération électoraliste».

 

Source : Yabiladi

 

Couvre-feu imposé à Nador

La ville de Nador se barricade à nouveau avec le retour des mesures restrictives et du couvre-feu en raison de la recrudescence des nouvelles contaminations. Les autorisations de déplacement sont désormais exigées avant toute entrée et sortie dans la ville.

Le couvre-feu nocturne a pris effet depuis le samedi 24 octobre. A ce jour, la ville a enregistré 1200 contaminations et 29 morts depuis le début de l’épidémie au Maroc, après avoir recensé 52 nouveaux cas, ce samedi 24 octobre.

Tout contrevenant aux mesures restrictives et à la présentation de l’autorisation de déplacement délivrée par les autorités compétentes est passible d’amendes.

Ces mesures concernent également les restaurants, les cafés qui ferment rigoureusement à 22h. S’agissant des commerces de proximité, ils doivent fermer à 21h. Quant à Oulad Mimoun, le plus grand et célèbre souk de la région, il lui est fait obligation de fermer à 18h.

 

Source : Bladi

Oujda/Politique migratoire : El Ouafi lance le projet DEPOMI

Nezha EL Ouafi, ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, chargée des Marocains résidant à l’étranger, a présidé le vendredi 23 octobre 2020, au siège de la Wilaya de l’Oriental à Oujda, la cérémonie de lancement du projet «Déploiement des politiques migratoires au niveau régional : DEPOMI».


 
La cérémonie a connu la participation du wali de la Région de l'Oriental et gouverneur de la Préfecture d'Oujda-Angad, du président du Conseil régional de l’Oriental, l’ambassadeur de la Belgique au Maroc et le chef de la section Gouvernance de la Délégation de l’Union européenne au Maroc.

Ce projet, financé par l’Union européenne via le Fonds Fiduciaire d’Urgence (FFU), va permettre au ministère délégué chargé des MRE d’intégrer d’une manière progressive et coordonnée la dimension de la migration et le développement dans les politiques et stratégies publiques aux niveaux national et régional.

Le processus de régionalisation avancée est une opportunité pour mettre les régions au cœur de la mise en œuvre de la Stratégie nationale au profit des Marocains résidant à l’étranger (SNMRE) et la Stratégie nationale d’immigration et d’Asile (SNIA), dans les régions concernées par le projet, à savoir l’Oriental, Béni Mellal-Khénifra et Souss-Massa, qui présentent des réalités migratoires différentes, où et les acteurs locaux sont les mieux placés pour analyser et gérer la dynamique migratoire spécifique propre à leur territoire afin d’en faire un levier efficace pour le développement économique et social.

La mise en œuvre du projet est confiée à Enabel, agence belge de développement, en coordination avec tous les acteurs concernés.

Le budget alloué à ce projet est de huit millions d’euros.

A terme, le projet DEPOMI prévoit d’atteindre les résultats relatifs au renforcement des compétences des acteurs partenaires et de la gouvernance pour l’accompagnement de la migration.

Une feuille de route ayant trait à la mobilisation des compétences et la promotion de l’entreprenariat des Marocains résidant à l’étranger au niveau territorial, ainsi que la déclinaison régionale de la politique migratoire sera élaborée par région pour instaurer un mécanisme de concertation et de coordination des acteurs qui s’appuie sur l’intégration régionale et locale.

Par ailleurs, le projet prévoit également le renforcement du partenariat avec les organisations de la société civile pour l’atteinte de résultats escomptés ainsi que le développement de la recherche scientifique grâce à une collaboration entre les universités marocaines et européennes.

L’objectif de cette dernière est de créer de la connaissance, d’approfondir la recherche dans certains domaines y afférents, et de mettre à la disposition de ces régions, toutes les informations et données nécessaires pour mieux intégrer la migration et le développement d’une manière efficace dans les différents projets et initiatives ayant trait au développement local.

 

Source : Laquotidienne

Jerada réhabilite ses périmètres irrigués

48 millions de DH pour irriguer 1.040 hectares
Ils profiteront à 1.034 petits agriculteurs

La commune d’Ain Bni Mathar s’offre une cure de jouvence et réhabilite son périmètre irrigué de Ras El Aïn pour améliorer sa production agricole. Une aubaine pour 1.034 exploitants qui n’assuraient plus une irrigation permanente à leurs parcelles agricoles. Ce projet d’aménagement hydro-agricole s’inscrit dans le cadre du programme de développement agricole de la province de Jerada (2018-2020).

Le projet qui vient d’être lancé garantira également l’irrigation d’une superficie de 3.000 ha avec valorisation des terres agricoles avoisinantes. Il contribuera à la rationalisation de l’utilisation de l’eau via la modernisation des canaux de distribution, la réhabilitation des prises d’eau et les stations de pompage. Cela permettra d’assurer la création d’une économie alternative basée sur l’agriculture pour la création de l’emploi et l’amélioration des revenus pour les petits agriculteurs.

Au total, cinq stations d’un débit de 961 l/s équipées de matériels de dernière génération, seront mises à disposition pour récupérer les eaux perdues et réduire la durée du cycle de l’eau. Ce qui optimisera la modernisation des techniques d’exploitation et les réseaux d’irrigation dans les secteurs Al Massira et Al Wifaq.

«En amont ces installations qui ont nécessité 48 millions de DH pour leur réalisation garantiront une répartition équitable de l’eau d’irrigation entre usagers tout en respectant le tour d’eau arrêté par les associations des usagers des eaux agricoles», précise Mohammed Segmani, directeur provincial de l’agriculture à Jerada.

Dans le détail, les travaux d’exécution ont concerné la réalisation des réseaux de distribution basse pression, des bornes et des prises d’irrigation pour un montant de 32,5 millions de DH sur un délai d’exécution de 18 mois. C’est le cas aussi pour les travaux de réhabilitation de 5 stations de pompage au périmètre irrigué Ras El Aïn pour 15,4 millions de DH.

Pour rappel, ce périmètre irrigué est alimenté en eau à partir de la nappe captive d’Ain Bni Mathar. Cinq anciennes stations de pompage sur forages, équipées en groupes électropompes immergés, en assuraient l’irrigation mais sont devenues désuètes. Elles avaient besoin d’interventions urgentes pour éviter les gaspillages collatéraux en eaux d’irrigation et rationaliser la distribution des eaux souterraines.

 

Les mesures restrictives prolongées à Jerada

La commission provinciale de veille et de suivi à Jerada a décidé de prolonger les mesures prises auparavant pour endiguer la propagation du coronavirus.

Il s’agit d’imposer les autorisations de déplacement de et vers Jerada et Ain Beni Mathar ainsi que l’interdiction des rassemblements, des fêtes de mariages, des cérémonies funéraires et des réunions familiales.

Les marchés de proximité continueront à fermer à 18h. Les cafés et commerces ferment à 20h, les snacks et les restaurants à 21h. La capacité d’accueil des transports urbains reste quant à elle réduite de 50%.

 

Santé, enseignement et emploi : Jerada renforce ses infrastructures

Enseignement, santé, emploi… trois secteurs essentiels qui bénéficient d’une attention particulière au niveau de la province de Jerada, à en juger par le nombre de projets réalisés au cours des 2 dernières années. Les plus récents viennent d’être inaugurés ce 18 novembre, fête de l’Indépendance du Maroc.

Ainsi, l’offre hospitalière a été renforcée avec l’acquisition d’une unité mobile et d’une unité médicale pour les examens ORL. Un matériel acquis dans le cadre du programme de réduction des disparités spatiales et sociales. S’y ajoutent un détecteur d’écho et deux concentrateurs d’oxygène, au profit des personnes en situation de précarité. De leur côté, les patients atteints d’insuffisance rénale de la commune d’Ain Bani Mathar, bénéficient désormais d’une ambulance pour les transporter vers les centres d’hémodialyse de Jerada et d’Oujda.

«Ces équipements, qui ont nécessité 2,5 millions de DH, sont indispensables pour moderniser les services de l’hôpital provincial «Laaouinate» et rapprocher les services médicaux des populations de la région», confie à L’Economiste Mabrouk Tabet, gouverneur de la province. De son côté, l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) a contribué à 12 projets dans la région au cours de 2019 et 2020 pour une enveloppe de 5,49 millions de DH, soit 96% du montant total (5,7 millions de DH) alloué à l’acquisition d’unités médicales, matériel mobile et paramédical.

Des changements aussi dans le secteur de l’enseignement dont l’infrastructure a été renforcée. Deux nouvelles écoles ont été inaugurées et les travaux pour un 3e établissement lancés. Trois structures pour encourager la scolarisation, le préscolaire et lutter contre le phénomène de la déperdition scolaire. Elles font partie du programme de développement de la région de Jerada 2018/2020, pour lequel 31 unités d’enseignement primaire ont été créées, dont 20 dans le monde rural avec une enveloppe financière spécifique de 3 millions de DH.

Concernant l’emploi et dans le cadre du programme de lutte contre l’exclusion sociale en milieu urbain, une première plateforme dédiée à l’employabilité des jeunes est opérationnelle depuis le 18 novembre pour contribuer à l’amélioration des revenus des jeunes et faciliter leur insertion professionnelle. Une réalisation qui a nécessité 4,5 millions de DH et qui s’ajoute à la livraison de machines à coudre, acquises dans le cadre du programme d’accompagnement des personnes en situation difficile, au profit des deux centres multiservices à Ain Bani Mathar et Oued Al-Himer.

Source : L’économiste

Oléiculture : augmentation de 55% de la superficie cultivée en dix ans dans l’Oriental

La culture de l’olivier dans la région de l’Oriental est passée de 77 000 hectares en 2009 à 120 000 hectares en 2019. Une progression de 55% qui a été possible grâce au Plan agricole régional (PAR) et aux séances de formation organisées sur les techniques de récoltes de l’olivier, indique la Direction régionale de l’Agriculture (DRA).

 

Depuis le lancement du PAR, 30 projets ont été programmés pour un investissement global de 602 MDH. Étalés sur une superficie d’environ 40 000 hectares, ces projets profitent à près de 18 100 agriculteurs, précise le communiqué de la direction régionale de l’agriculture, qui souligne que la hausse de 55% de la superficie dédiée à la culture de l’olivier a permis de porter la production à 202 000 tonnes.

Selon la DRA, la région de l’Oriental compte plus de 370 unités de trituration des olives dont 49 modernes d’une capacité estimée à 28 000 tonnes par an. Elle dispose également de 30 conserveries d’une capacité de 53 000 tonnes par an implantées pour la plupart dans les provinces de Taourirt et Guercif où 70% de la production est destiné à la trituration et 30% à la conserverie. Mieux, la valeur des exportations a grimpé de 42 MDH en 2009 à 400 MDH en 2019.

 

Source : Bladi

La vérité sur l’apparition d’un cluster dans une école à Nador

La direction provinciale du ministère de l’Education nationale à Nador a démenti les informations prétendant qu’un foyer épidémiologique a été enregistré dans un établissement scolaire de la ville.

Dans un communiqué, la direction a affirmé que les rumeurs faisant état de la présence de 8 cas de Covid-19 dans une école sont complétement fausses.

Ces informations ne se basent sur aucune donnée précise fournie par les autorités sanitaires et se contentent de reprendre des allégations dénuées de tout fondement, indique cette source. Il s’agit d’un seul cas positif parmi les enseignants de cet établissement, précise la source.

 

Source : LeSiteInfo

A Oujda, des coopératives fédèrent leurs efforts et résistent à la crise de la Covid-19

Oujda – On aurait pu penser que l’activité d’un point de vente collaboratif, dédié à la promotion des produits de terroir, se verrait affectée négativement par l’épidémie de la Covid-19, qui a gagné le Maroc quelques mois après l’inauguration. Il n’en a rien été pour cette boutique située à Oujda, et le caractère spécifique des produits de terroir y est pour beaucoup.

Houcine Maâdadi, fondateur et directeur exécutif de la plateforme «Chabab de l’Or», est fier du bilan de cette première année d’activité. C’est ce groupement de coopératives qui a lancé cette «boutique participative» pour offrir à des producteurs artisanaux un espace de vente permanent et bien organisé, tourné principalement vers les produits alimentaires de terroir.

«L’objectif de cette initiative est de conjuguer les efforts d’un ensemble de coopératives pour offrir un large éventail de produits de terroir, répondant aux besoins et aux exigences des clients, tout en créant des opportunités d’emploi et contribuant au développement local», explique-t-il dans un entretien avec la MAP.

«Il nous fallait du coup un espace d’exposition et de vente permanent, car la plupart des coopératives participantes ne réalisaient des ventes que lors des foires et salons destinés à l’économie sociale et solidaire, soit une ou deux fois par an», ajoute M. Maâdadi.

Mais comment cette expérience naissante a-t-elle pu résister au choc Covid-19, qui a mis à mal tant de secteurs et «business models» ? «La pandémie du coronavirus a eu parmi ses effets un engouement des gens pour les produits alimentaires biologiques, naturels et de terroir, qui ont une grande valeur nutritionnelle et sont considérés comme bénéfiques pour le renforcement du système immunitaire», explique-t-il.

Le projet «Chabab de l’Or» a débuté en 2016 sous forme d’association, avant d’opter pour le modèle coopératif. L’objectif était de créer un pont entre les jeunes diplômés et le marché du travail, en vue de lutter contre le chômage et les intégrer dans le cycle économique.

«Nous avons créé plusieurs activités génératrices de revenu au profit du premier groupe de jeunes bénéficiaires de nos formations. Ces AGR ont commencé à se développer au fil des années et on a fini par les structurer en quatre coopératives, dont chacune est spécialisée dans un domaine comme l’agriculture biologique, la couture et la mode, la formation et le design, poursuit M. Maâdadi.

«Chabab de l’Or» est devenu un véritable label avec lequel de nombreuses autres coopératives, de l’Oriental et d’autres régions du Maroc, sont entrées en collaboration pour les aider à commercialiser leurs produits.

«On s’est retrouvé alors en contact avec des coopératives aux activités très hétérogènes, ce qui rendait la coordination difficile. On a donc décidé de se concentrer sur un seul domaine, à savoir les produits de terroir, car celles-ci ont une charge culturelle, civilisationnelle, humaine et sociale, outre leur intérêt économique».

Houcine Maâdadi explique aussi le succès de cette première expérience par l’esprit entrepreneurial avec lequel est géré le label «Chabab de l’Or», une approche encore peu assimilée par de nombreuses coopératives. «Beaucoup de coopératives restent limitées à une activité saisonnière et n’ont pour raison d’être que la participation aux foires et la recherche des subventions et aides offertes par les collectivités locales», regrette-t-il.

Il a souligné, dans ce sens, que «Chabab de l’Or» met l’accent sur le développement de l’esprit entrepreneurial en tant que levier de croissance pour le secteur coopératif, tout en restant attachés à l’économie sociale et solidaire et aux produits de terroir.

Cet esprit entrepreneurial est basé sur l’investissement, non seulement en termes de moyens financiers mais aussi dans les compétences humaines, l’objectif étant d’intégrer le cycle économique et contribuer au développement de cette région qui enregistre un taux de chômage élevé.

A ce jour, «Chabab de l’Or» collabore avec une trentaine de coopératives de l’Oriental et d’ailleurs, et est en train d’établir des partenariats pour proposer davantage de produits, notamment de l’Oriental.

Ne comptant pas en rester là, ce cadre coopératif entend ouvrir d’autres points de vente à Oujda et même dans d’autres villes du Royaume. Il dispose actuellement de deux boutiques, celle d’Oujda et une autre à Tagafayt, dans la province de Jerada, et s’apprête à inaugurer un troisième point de vente à Figuig «dès que la situation épidémiologique le permette», assure Maâdadi.

 

Source : MAP

Oujda abritera un colloque international sur les chaînes de valeur mondiales et régionales, les 6 et 7 novembre

Le laboratoire de recherche en management territorial, intégré et fonctionnel (LARMATIF) organise, les 6 et 7 novembre prochain à l’Ecole nationale de commerce et de gestion d’Oujda, un Colloque international sous le thème «Les chaînes de valeur mondiales et régionales : Quelle intégration pour l’économie marocaine ?».

VM) soit régionales (CVR) représente un levier important pour la dynamisation de l’économie du Maroc, dans le cadre de la conception d’un modèle de développement propre, plus inclusif et plus dynamique économiquement, socialement et territorialement, soulignent les organisateurs sur le site web de l’Université Mohammed Premier (UMP) d’Oujda. L’importance croissante des CVM dans la gestion et la coordination de la production et des échanges commerciaux entre les pays a été l’une des transmutations les plus importantes survenues au cours des deux dernières décennies, notent les organisateurs, ajoutant que ce phénomène a fait en sorte que les biens et les services intermédiaires sont échangés selon des processus de production fragmentés et dispersés dans plusieurs pays.

La participation aux CVM présente pour l’ensemble des pays du monde des possibilités de développement, mais aussi, des défis à relever et des stratégies à concevoir. En effet, la spécialisation d’un pays dans un segment de CVM de faible valeur ajoutée peut limiter sa croissance, et peut même être nuisible en termes de dégradation de l’environnement et de conditions de travail.

 

Source : Libération