Au programme également des formations sur l’apiculture moderne et sur les techniques pour assurer une meilleure productivité. In fine, accroître les revenus de la population locale, spécialement les femmes, à travers le développement de l’apiculture et la promotion de ses produits. L’objectif du projet de gestion intégrée des zones côtières de l’Oriental est de piloter des actions pour la conservation des eaux, du sol et la création d’emploi.
Dans le détail, il s’articule autour de trois composantes. La première concerne le renforcement institutionnel en gestion intégrée et le développement des capacités de planification et développement local. La deuxième composante du projet a trait aux investissements pour améliorer la gestion des ressources côtières et les moyens de subsistance par le biais d’une approche de cogestion. L’objectif est de soutenir les investissements adaptés à la maîtrise des programmes en cours. La troisième composante du projet porte sur la gestion, le suivi et l’évaluation pour assurer une coordination adéquate des activités en soutenant le renforcement des capacités au sein de l’Unité de gestion du projet (UGP).
Le coût global du projet est estimé à 25,18 millions de dollars incluant l’ensemble des financements provenant de la Banque mondiale et d’autres sources. Un budget alloué à plusieurs secteurs: l’agriculture, la pêche, la foresterie, l’eau, l’assainissement, la protection contre les inondations, la gestion administrative, la pêche, l’aquaculture et l’élevage. Quant aux thèmes de pilotage, ils s’articulent autour des politiques institutionnelles qui ciblent l’environnement, la biodiversité, la gestion des ressources en eau, le développement rural et la condition de la femme en milieu rural.
Source : L'économiste